Empierrement du Chemin de Momalle (Remicourt)

Le 27 juin 1888, la commune de Remicourt déclare le fermier HALLEUX adjudicataire pour la fourniture de 400 m3 de pierres, pour une somme de 9.756 francs, destinées à l’empierrement et l’aménagement du Chemin de Momalle (qui deviendra plus tard la rue de Liège). PETITJEAN Joseph est désigné pour effectuer le terrassement.

Les routes de Pousset

Vers 1855, les routes de Pousset, vers Bovenistier, vers Oreye et vers Remicourt, sont empierrées.

Chemin vicinal empierré (Waremme – Liège)

Vers 1845, le chemin vicinal de Liège à Waremme est empierré. Cela permettra aux plus démunis des villages qu’il traverse de trouver plus facilement leur subsistance, à l’extérieur.

Des poteaux électriques et des pipelines le long des routes (Waremme)

Le 16 décembre 1870, le Conseil Communal de Waremme examine la demande de la « Société d’Agriculture Industrielle », d’établir sur l’accotement de la Chaussée Romaine, ainsi que le long de deux chemins intérieurs:

  • Des poteaux auxquels sera attaché un fil électrique.
  • Des tuyaux en fonte d’un diamètre de 8 à 12 cm, posés à une profondeur de 80 cm, à un mètre de la bordure de l’empierrement.

Embouteillages à Waremme

Le 1er octobre 1867, pour remédier aux embouteillages dans la commune, causés par l’afflux de tombereaux de betteraves vers les deux sucreries, le Conseil Communal de Waremme prend les mesures suivantes:

  • Les chars venant de Waremme doivent monter la rue de la Station du côté gauche et descendre par la rue Sous-le-Château.
  • Le stationnement est interdit rue de la Station, à hauteur des raccordements ferrés vers les deux fabriques.
  • Aucune voiture ne peut emprunter la rue Sous-le-Château, à partir de la maison « DERUISSEAU ».
  • Les chars venant de Longchamps doivent contourner la gare par l’empierrement qui aboutit près de la maison « BERTRAND ». Les autres transports doivent continuer par la rue Sous-le-Château, sans s’arrêter.

En cas d’infraction à ces mesures, une amende de 5 à 10 francs sera appliquée.

Un point d’arrêt du train (Momalle)

Vers 1890, un point d’arrêt du chemin de fer est inauguré à Momalle, à hauteur du passage à niveau, sur la route qui relie la commune à celle de Jeneffe (qui n’est en fait qu’un sentier de terre battue).

Ce point d’arrête va entraîner le développement et l’empierrement de la nouvelle « Rue de la Station », par la construction de nouvelles habitations.

Waremme entreprend de grands travaux

Entre 1863 et 1866, la ville de Waremme entreprend divers travaux d’aménagement : des empierrements de chemins extérieurs (pour 11.000 francs), un repavage à peu près complet des chemins intérieurs (pour 25.000 francs), la construction d’un pont sur le Geer et le comblement de l’abreuvoir (pour 12.000 francs), la construction d’un pont à Mouhin (pour 780 francs) et des travaux d’éclairage de la ville (pour 1.000 francs).

La rue de Saive sera empierrée (Waremme)

Le 20 novembre 1841, sur proposition de l’ingénieur des Ponts et Chaussées WILMART, le conseil communal de Waremme décide l’empierrement de la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy), depuis le pavé de la Station, jusqu’à la Chaussée romaine rénovée. Le coût de ses travaux sera couvert par un subside de 12.500 francs de la Province et par un subside de 6.000 francs du Gouvernement. Pour le solde à charge de la commune, le conseil décide d’augmenter les centimes additionnels jusqu’à concurrence d’un 10ème du principal.

La Chaussée Romaine sera empierrée (Waremme)

Le 6 mai 1841, le conseil communal de Waremme décide d’empierrer et de rouvrir à la circulation l’ancienne Chaussée Romaine, avec l’aide de la Province. Cette voie deviendra un chemin de grande communication vicinale.

Création des chaussées romaines de Hesbaye

auguste empereur

auguste empereur

Dès le début de notre ère, l’Empereur AUGUSTE désire la création d’un réseau routier de première valeur. Il charge AGRIPPA Vipsanius de le réaliser. Dans notre région, une voie part de Bavay et se dirigeant vers Tongres, en traversant la Hesbaye. (Il est possible que les Romains se contentent d’élargir une piste gauloise existante).

La chaussée passe par les localités actuelles de Braives, Geer, Waremme et Oreye. Outre cette chaussée, un embranchement appelée « Chaussée de Nivelles » est également édifié. C’est un diverticule de la chaussée principale, qu’elle rejoint à Malpas et à l’ancienne Notre-Dame de Lorette à Grandville. Elle est empierrée en profondeur. C’est depuis cet endroit que partent les vivres et le fourrage des légions romaines du Rhin pour le relais de Bergilers, situé à mi-chemin de Braives et de Tongres. Une autre chaussée est construite entre Arlon et Tongres, via Amay.

De petits noyaux urbains ou des stations sont échelonnées à distance régulière sur ces chaussées (Braives, Bergilers, …), ainsi que des « villas-fermes ».

Les personnages importants de ces noyaux urbains et les grands propriétaires terriens se font enterrer, après crémation, sous des tumuli, aux abords de la chaussée.

(Selon certains historiens, les chaussées romaines et les « diverticules » sont construits sur des pistes déjà empruntées par les Gaulois.)