La commune emploie des chômeurs (Crisnée)

Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.

Joséphine Leruth, en disponibilité (Crisnée)

Le 1er mai 1919, la maîtresse de couture de Crisnée, LERUTH Joséphine, est mise en disponibilité suite à la suppression de son emploi.

Naissance de Charles Lapierre (Crisnée)

En 1886, LAPIERRE Charles voit le jour à (?). Il sera charron à Crisnée. Il exploitera un  atelier de scieur en long, rue de Favray, qui emploiera jusque 8 ouvriers.

Paulus Poncelet use de philtre amoureux (Thys)

En juillet 1624 (?), une affaire est instruite devant la Cour de Justice de Thys, à charge de PONCELET Paulus, fils du capitaine des 5 villages PONCELET Piron, pour l’emploi d’un philtre amoureux.

Personnel de la sucrerie (Hollogne-sur-Geer)

En 1865, la sucrerie de Hollogne-sur-Geer emploie une trentaine d’ouvriers réguliers et 230 ouvriers saisonniers.

Albert Leburton, apprenti-cimentier (Oreye)

Vers 1926, LEBURTON Albert, dit « Boldje », d’Oreye, commence à travailler chez ORY Joseph, comme apprenti-cimentier.

Louis-Joseph Hennay, blessé (Oreye)

Le 20 août 1822, le Maréchal des Logis de la brigade d’Oreye, HENNAY Louis-Joseph, chute de son cheval, lors d’une tournée dans la campagne de Thys. Il se démet la jambe. Il est également foulé plusieurs fois aux pieds par sa monture. Ses blessures ne lui permettent pas de reprendre son service. Il sollicitera du Souverain, un emploi de percepteur des contributions.

Fermeture de la râperie (Hollogne-sur-Geer)

En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.

Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.