Vers 1926, LEBURTON Albert, dit « Boldje », d’Oreye, commence à travailler chez ORY Joseph, comme apprenti-cimentier.
Albert Leburton, apprenti-cimentier (Oreye)
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Louis-Joseph Hennay, blessé (Oreye)
Le 20 août 1822, le Maréchal des Logis de la brigade d’Oreye, HENNAY Louis-Joseph, chute de son cheval, lors d’une tournée dans la campagne de Thys. Il se démet la jambe. Il est également foulé plusieurs fois aux pieds par sa monture. Ses blessures ne lui permettent pas de reprendre son service. Il sollicitera du Souverain, un emploi de percepteur des contributions.
Fermeture de la râperie (Hollogne-sur-Geer)
En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.
Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.
Un deuxième instituteur à Hodeige
En 1898, un 2ème emploi d’instituteur est créé à Hodeige (en raison de l’augmentation de population).
Les ouvriers de l’usine Mélotte (Remicourt)
En 1947, l’usine MELOTTE de Remicourt occupe 600 ouvriers.
Les ouvriers de l’usine Mélotte (Remicourt)
En 1928, l’usine MELOTTE de Remicourt occupe 1.200 ouvriers.
Les ouvriers de l’usine Mélotte (Remicourt)
En 1910, l’usine MELOTTE de Remicourt occupe 450 ouvriers.
Les ouvriers de l’usine Mélotte (Remicourt
En 1900, l’usine MELOTTE de Remicourt occupe 220 ouvriers.
Les ouvriers de l’usine Mélotte (Remicourt)
En 1890, l’usine MELOTTE de Remicourt occupe 26 ouvriers.
L’usine Mélotte (Remicourt)
En 1876, MELOTTE Guillaume fait construire un nouvel atelier à Remicourt, en face de la sucrerie, et lui donne le nom de « Usine MELOTTE ». Il emploie une dizaine d’ouvriers.