En 1960, la population active de Waremme se répartit comme suit:
- ouvriers qualifiés et manœuvres: 36,5 %
- employés et fonctionnaires: 31,1 %
- commerçants et artisans: 26,9 %
- travailleurs indépendants: 2,95 %
- travailleurs dans l’agriculture: 2,50 %
En 1960, la population active de Waremme se répartit comme suit:
Le 16 février 2018, ANCION Sullivan de Remicourt, ancien policier, ouvre la salle de sports « Revolution Fitness », à l’étage des commerces « Poivre et Sel » et « Al Binète », au n° 244 de la Chaussée Romaine, à Waremme. La salle a une superficie de 620 m2. Une équipe de 10 coaches y travaille.
En 2004, le personnel communal de Remicourt est composé de:
En 1970, la répartition socio-professionnelle des habitants de Waremme:
En 1918, les Allemands déportent à Waremme des ouvriers et employés spadois des chemins de fer vicinaux ont décidé de cesser le travail. Ils disposent d’un immeuble, rue de Sélys-Longchamps, à côté de la Siroperie LAMBERT. Cet immeuble est appelé « L’Auberge Spadoise ».
En 1852, il y a 892 électeurs dans l’arrondissement de Waremme. Par profession, ils se répartissent comme suit:
En janvier 1940, l’Union Coopérative « La Justice », de Waremme, occupe une trentaine de personnes. Elle dispose dans la ville de:
En août 1944, les Etablissements « JAVAUX Arthur » occupent un grand bâtiment à l’angle de la rue de Huy et de la rue Stanislas Fleussu. L’entreprise emploie plusieurs personnes.
En juin 1944, la scierie « Hambroise » est située rue de Huy, à la sortie de Waremme, près de la société « Hesbaco ».
Elle emploie une douzaine de personnes.
En juin 1944, une dizaine de personnes sont employées par la société « Hesbaco » de Waremme (anciennement les Etablissements Wéry), située à la rue de Huy à Waremme.
En raison du risque d’attaque aérienne, et sous la pression du personnel, la direction a aménagé un abri au rez-de-chaussée de l’immeuble.