En 1113, le chapitre de Sainte-Croix, à Liège, emprunte 30 marcs à ALGER et à BALDRIC, époux d’Yda, pour la restauration de la brasserie et du moulin de Waremme.
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Financement de la nouvelle église (Waremme)
Le 15 mars 1879, le Conseil Communal de Waremme vote un subside de 35.000 francs et un emprunt de 50.000 francs pour la nouvelle église.
Emprunt pour les trottoirs (Remicourt)
En 1966, pour terminer les trottoirs du village, le conseil communal de Remicourt sollicite un nouvel emprunt de 1.000.000 de francs.
Emprunt pour les trottoirs (Remicourt)
Le 13 juin 1958, le conseil communal de Remicourt sollicite un emprunt de 600.000 francs pour poursuivre l’établissement des trottoirs dans le village.
La commune emprunte (Remicourt)
Le 6 mars 1918, le Conseil Communal de Remicourt souscrit un emprunt de 26.500 francs, au Crédit Communal, pour rembourser les dépenses de première nécessité:
- le ravitaillement de la population
- l’aide au Bureau de Bienfaisance
- l’achat de vêtements
- la soupe générale et la soupe scolaire
- l’aide aux nourrissons
Pavement des cours des garçons (Crisnée)
Le 23 avril 1938, le conseil communal de Crisnée décide le pavement et l’aménagement des cours de l’école des garçons. Un emprunt de 10.000 francs, remboursable en 15 annuités de 667 francs, sera sollicité auprès du Crédit Communal.
Travaux à l’école (Crisnée)
En février 1939, le conseil communal de Crisnée emprunte 10.000 francs au Crédit Communal pour paver les cours de l’école des garçons et pour construire des toilettes. Jusque-là, les cours étaient en cendre compactée.
La communauté cherche des fonds (Thys – Liège)
Le 13 mars 1679, la communauté de Thys, d’un « commun consentement à mine riante », envoie 2 délégués à Liège, pour y emprunter 1.000 florins, afin d’éviter l’exécution militaire. Elle les obtiendra du chanoine DE ROVERS.
La communauté emprunte au Seigneur (Thys)
Le 16 mai 1676, la communauté de Thys emprunte au Seigneur du lieu, D’EYNATTEN J.-J., 600 florins, en établissant une rente de 30 florins sur un bien communal.
Le brasseur s’endette (Thys)
Le 18 mars 1624, le brasseur de Thys, HAPPART Mathieu, et son épouse PONSELET Maroye, grèvent leurs biens d’une rente de 14 florins, afin de permettre à leur fils, HAPPART Etienne (Estienne), d’accéder à la prêtrise.