En 2023, selon la tradition, le lieu-dit « Li Batch des Macrales » à Kemexhe (Crisnée) est l’endroit où étaient exécutés les condamnés par la cour de justice du lieu et, parmi ceux-ci, les femmes soupçonnées de sorcellerie.
En octobre/novembre 2024, le restaurant-pizzéria « Les Caravelles », installé au n° 41 de la rue des Prés à Waremme, est en démolition par les entreprises « HOYOUX », pour des raisons de sécurité et de salubrité publique. Un immeuble de 14 appartements devrait être construit à cet endroit.
En 1890, la chapelle dédiée à la Sainte-Vierge, à la Porte de Liège à Waremme, est démolie à l’occasion de la construction de la ligne de chemin de fer vicinal « Waremme – Oreye », dont le tracé passe à cet endroit.
Fin 2013, DELHALLE Stéphanie, de Faimes ouvre le magasin de produits locaux « La Ruche qui dit Oui », dans les locaux de l’ASBL « Vie Féminine », au n° 84 de la rue de Sélys-Longchamps à Waremme. Son but est de regrouper les producteurs de miel locaux en un seul endroit.
Le 13 juin 1840, DETHIER-DREMOND Jean-Joseph, âgé de 26 ans, est tué dans un accident de cheval à Limont. Une croix sera plantée à l’endroit de l’accident.
Le 26 (25 ?) juillet 1779, GROGNET Jean-Joseph est assassiné dans sa prairie, non loin de l’église de Hodeige. Une croix commémorative sera installée à cet endroit. Il était âgé de 33 ans.
Le 29 mars 1821, un acte de partage est signé devant le Notaire LEJEUNE de Waremme. Il concerne la scission de l’ancienne propriété abbatiale d’Oreye.
MARCHAL Eustache-Joseph, né à Oreye en 1801, devient propriétaire de la maison située en face du moulin d’Oreye. (C’est à cet endroit que s’élèvera la future siroperie d’Oreye)
Le 8 (?) septembre 1944, le général américain PATTON George passe la nuit à la résidence ROBERTI, à Oreye (A l’endroit même où, 110 ans plus tôt, le Roi LEOPOLD 1er s’est arrêté avec sa suite, pour y passer la nuit).
En 1976, des fouilles mettent à jour la chapelle du Saint-Sauveur à Pitet, près de Fallais. Elles révèlent que 2 chapelles se sont succédées à cet endroit.
Le 5 septembre 1944, à Hollogne-sur-Geer, une patrouille de Résistants du « Groupe Otarie » arrive à temps pour empêcher un peloton cycliste allemand de faire sauter les ponts sur le Geer, car l’avant-garde américaine doit franchir le cours d’eau à cet endroit. Après quelques échanges de tirs, les Allemands se replient sans avoir eu le temps d’exécuter leur mission.