Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)

Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:

 » … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.

A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.

Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.

Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.

Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.

Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »

Auguste Mercier au Congo (Oreye)

De 1923 à 1926, le vétérinaire d’Oreye, MERCIER Auguste-Xavier-Arnold-Théodore part pour le Congo où il travaillera comme directeur de la « Société des Produits du Congo », installée sur l’île de Mateba, à l’embouchure du fleuve Congo.

Son épouse, PAQUES Bertha, ne l’accompagne pas parce qu’elle attend un enfant et que le climat insalubre de cette région ne lui convient pas.

Le magasin pour enfants Renkin-Désiron (Waremme)

En 1954, le magasin de fournitures pour enfant « Renkin-Désiron » est installé au n° 14 de l’avenue Reine Astrid, à Waremme.

Il vend:

  • des barboteuses
  • des layettes
  • des nids d’ange
  • des couvre-voitures

Quelques habitants du quartier de Mouhin (Waremme)

Vers 1918, habitent le quartier de Mouhin, à Waremme:

  • DELAIRESSE Louise, épouse MILIS
  • DELAIRESSE Ida, épouse LABY (sœur de la précédente)
  • DELAIRESSE Henriette, épouse JEANDARME (sœur des précédentes)
  • MANGON Marie (enfant)
  • DIEUDONNE Marie, épouse MANGON (grand-mère paternelle de MANGON Marie)
  • VANDENSAVEL Lambertine, épouse DELAIRESSE (grand-mère maternelle de MANGON Marie et mère de DELAIRESSE Louise, DELAIRESSE Ida et DELAIRESSE Henriette)
  • MANGON Louise, épouse KEMPENEERS (fille de DIEUDONNE Marie)

Elles filent la laine.

L’enseignement dans la région de Waremme

Vers 1670, les élèves qui bénéficient d’un enseignement apprennent le catéchisme, la lecture, l’écriture et quelques éléments de calcul. 

Généralement, l’enfant est admis à l’école vers 7, 8 ou 10 ans, et, en principe, poursuit ses études jusque 12 ou 14 ans.

Dans la pratique, la fréquentation scolaire est liée à la situation socio-économique des parents, à leurs besoins et à leurs ressources. Un enfant peut ne passer que quelques mois en classe, un autre plusieurs années, un troisième échapper à toute forme d’instruction.

Mort de Catherine de Latinne

Le 7 janvier 1368, DE LATINNE Catherine décède à (?). Son mari veuf est DE HEMRICOURT Raës, dit « de Lamine ». Ils n’ont pas d’enfant.

Un enfant mort en bas-âge (Waremme)

Le 5 décembre 1850, CARTUYVELS Caroline, épouse du notaire LEJEUNE Pierre-Gilles-Joseph-Jules (fils du bourgmestre de Waremme), accouche d’un enfant qui ne vivra que quelques jours.

Guillaume de Corswarem, chanoine

En 1329, DE CORSWAREM Guillaume est chanoine de Saint-Pierre. Il est le 7ème enfant du chevalier DE CORSWAREM Guillaume.

On enterre dans le nouveau cimetière (Waremme)

Le 12 août 1855, le choléra sévit dans la région de Waremme. La décision est prise d’enterrer dans le nouveau cimetière. On commence ce jour par un enfant presque mort-né.

Aide aux familles des soldats mobilisés (Waremme)

Le 3 août 1914, le conseil communal de Waremme vote un crédit spécial pour venir en aide aux familles des soldats mobilisés: chaque épouse reçoit une indemnité d’un franc et 50 centimes par enfant du ménage.