Enseignement de la philosophie (Waremme)

En 1718, un premier professeur de philosophie enseigne au Couvent des Récollets de Waremme.

L’enseignement des novices (Waremme)

En 1724, le couvent des Pères Récollets de Waremme délivre un enseignement d’Humanités à ses postulants. Le Révérend Père HARDY Antoine est un des professeurs.

Projet de collège au couvent (Waremme – Liège)

En 1776, les bourgmestres de la Waremme, FRERARD Gilles et BOUX Jean-Gisbert, désirent qu’un collège d’Humanités, tenu par les Pères Récollets, soit créé à Waremme.

Pour cela, ils écrivent au Prince-Evêque de Liège: « Les bourgmestres et magistrats de votre bonne ville de Waremme-le-Château, considérant que la science est l’âme d’un Etat, germe des vertus et la base de la société, et que l’homme ne peut rien acquérir de si précieux qu’icelle, ont formé le projet d’établir en leur ville l’enseignement des Humanités, sous l’agrégation de votre Altesse…. »

Le conseil de la commune entrera ensuite en pourparlers avec le Père Provincial des Récollets, qui répondra qu’il faut attendre la réunion générale des Pères (qui se tient tous les 3 ans). Le projet va encore échouer.

L’abbé Janssen refuse d’enseigner à la commune (Crisnée)

Le 18 août 1870, l’abbé JANSSEN Guillaume, curé de Crisnée, informe le conseil communal du village qu’il refuse désormais de prodiguer l’enseignement religieux à l’école communale.

Cet enseignement sera confié à l’instituteur RUTTEN Henri-Joseph.

Dédoublement d’une classe (Crisnée)

En 1915, vu le grand nombre d’élèves, le conseil communal de Crisnée décide de dédoubler la classe tenue par l’instituteur LAHAYE Charles. Une cloison est placée dans le sens de la largeur. SAUVAGE Nicolas est nommé pour enseigner dans cette classe supplémentaire.

Dédoublement de l’école primaire (Crisnée)

En septembre 1938, l’école primaire de Crisnée est dédoublée. Le conseil communal du village nomme BOLLAND Nicolas, de Crisnée, pour y enseigner au degré inférieur.

Constitution de l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » (Waremme)

Le 4 novembre 2014, l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » est constituée à Waremme. Son siège social est installé au n° 91 de la rue Ernest Malvoz à Waremme.

Elle a pour but:

  • l’organisation d’activités artistiques et culturelles
  • l’organisation de voyages
  • l’organisation d’activités sportives
  • l’aide aux jeunes et aux adultes en prestant des cours d’enseignement qui respectent l’enseignement officiel de Math, Sciences et des cours de Français, Néerlandais, Anglais et Arabe, comme inscrit dans la charte « Ouverture aux Langues et à la Culture » (OLC) entre la Communauté Française et le Royaume du Maroc.

Les administrateurs sont:

  • BONNOUH Aziz, Belge, né au Maroc, domicilié rue Saint-Eloi à Waremme
  • BONNOUH Samira, Belge, née en Belgique, domiciliée rue Saint-Eloi à Waremme
  • EL KHATTOUTI Boudli, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Pont à Waremme
  • LARAKI Youssef, Belge, né au Maroc, domicilié rue Hubert Stiernet à Waremme
  • MASSAOUI Khadija, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Parc à Waremme
  • OUASSAIDI Mustapha, Belge, né au Maroc, domicilié rue Ernest Malvoz à Waremme
  • SOUAGE Boumediene, Marocain, né au Maroc, domicilié rue de la Porte de Liège à Waremme
  • ZEROUALI Said, Belge, né au Maroc, domicilié à Heers

Portrait de Henri-Toussaint Dumont (Viemme – Liège)

DUMONT Henri-Toussaint voit le jour à Viemme le (?) et est baptisé à l’église de Borlez. Il obtient une licence en théologie à l’Université de Louvain. Abbé séculier d’Amay. Il enseigne la philosophie au Séminaire de Liège et est professeur de théologie pendant plus de 40 ans. Président de ce Séminaire pendant plus de 35 ans. Il en est également le proviseur. Chanoine théologal, vice-prévôt et scolastique de l’église cathédrale de Liège. Il a refusé d’être Prince-Evêque de Liège. Il est enterré dans la chapelle du Séminaire de Liège.

Les écoles de village (France- Hesbaye)

Dès le 30 mai 1793, les localités françaises (et donc les localités hesbignonnes) de 400 à 1.500 habitants doivent avoir au moins une école primaire. Cet enseignement concerne les filles de 5 à 11 ans et les garçons de 5 à 12 ans.

Ordonnance sur l’enseignement (Pays-Bas autrichiens)

Le 6 septembre 1744, D’AUTRICHE Marie-Thérèse, impératrice des Pays-Bas autrichiens, prend une ordonnance impériale qui règle l’enseignement élémentaire dans tous les Etats de la monarchie autrichienne:

  • Règles à suivre pour la construction des bâtiments scolaires
  • Livres à employer
  • Obligation pour les enfants de fréquenter l’école
  • Division des écoles en 3 degrés
  • Défense aux maîtres de tenir cabaret
  • Rôle des inspecteurs de l’enseignement