Constitution de l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » (Waremme)

Le 4 novembre 2014, l’ASBL « Hesbaye Pont de l’Amitié » est constituée à Waremme. Son siège social est installé au n° 91 de la rue Ernest Malvoz à Waremme.

Elle a pour but:

  • l’organisation d’activités artistiques et culturelles
  • l’organisation de voyages
  • l’organisation d’activités sportives
  • l’aide aux jeunes et aux adultes en prestant des cours d’enseignement qui respectent l’enseignement officiel de Math, Sciences et des cours de Français, Néerlandais, Anglais et Arabe, comme inscrit dans la charte « Ouverture aux Langues et à la Culture » (OLC) entre la Communauté Française et le Royaume du Maroc.

Les administrateurs sont:

  • BONNOUH Aziz, Belge, né au Maroc, domicilié rue Saint-Eloi à Waremme
  • BONNOUH Samira, Belge, née en Belgique, domiciliée rue Saint-Eloi à Waremme
  • EL KHATTOUTI Boudli, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Pont à Waremme
  • LARAKI Youssef, Belge, né au Maroc, domicilié rue Hubert Stiernet à Waremme
  • MASSAOUI Khadija, Belge, né au Maroc, domicilié rue du Parc à Waremme
  • OUASSAIDI Mustapha, Belge, né au Maroc, domicilié rue Ernest Malvoz à Waremme
  • SOUAGE Boumediene, Marocain, né au Maroc, domicilié rue de la Porte de Liège à Waremme
  • ZEROUALI Said, Belge, né au Maroc, domicilié à Heers

Portrait de Henri-Toussaint Dumont (Viemme – Liège)

DUMONT Henri-Toussaint voit le jour à Viemme le (?) et est baptisé à l’église de Borlez. Il obtient une licence en théologie à l’Université de Louvain. Abbé séculier d’Amay. Il enseigne la philosophie au Séminaire de Liège et est professeur de théologie pendant plus de 40 ans. Président de ce Séminaire pendant plus de 35 ans. Il en est également le proviseur. Chanoine théologal, vice-prévôt et scolastique de l’église cathédrale de Liège. Il a refusé d’être Prince-Evêque de Liège. Il est enterré dans la chapelle du Séminaire de Liège.

Les écoles de village (France- Hesbaye)

Dès le 30 mai 1793, les localités françaises (et donc les localités hesbignonnes) de 400 à 1.500 habitants doivent avoir au moins une école primaire. Cet enseignement concerne les filles de 5 à 11 ans et les garçons de 5 à 12 ans.

Ordonnance sur l’enseignement (Pays-Bas autrichiens)

Le 6 septembre 1744, D’AUTRICHE Marie-Thérèse, impératrice des Pays-Bas autrichiens, prend une ordonnance impériale qui règle l’enseignement élémentaire dans tous les Etats de la monarchie autrichienne:

  • Règles à suivre pour la construction des bâtiments scolaires
  • Livres à employer
  • Obligation pour les enfants de fréquenter l’école
  • Division des écoles en 3 degrés
  • Défense aux maîtres de tenir cabaret
  • Rôle des inspecteurs de l’enseignement

L’école gratuite pour les indigents (Pousset)

En 1891, 40 garçons et 38 filles « indigents » peuvent bénéficier de l’enseignement gratuit à Pousset. Pour cela, la commune verse 450 francs et le Bureau de Bienfaisance 400 francs.

Emile Gelin, professeur (Celles – Huy)

En 1875, l’abbé GELIN Emile, natif de Celles, est nommé professeur au Collège Saint-Quirin de Huy. Il y enseignera jusqu’en 1905.

L’enseignement dans la région de Waremme

Vers 1670, les élèves qui bénéficient d’un enseignement apprennent le catéchisme, la lecture, l’écriture et quelques éléments de calcul. 

Généralement, l’enfant est admis à l’école vers 7, 8 ou 10 ans, et, en principe, poursuit ses études jusque 12 ou 14 ans.

Dans la pratique, la fréquentation scolaire est liée à la situation socio-économique des parents, à leurs besoins et à leurs ressources. Un enfant peut ne passer que quelques mois en classe, un autre plusieurs années, un troisième échapper à toute forme d’instruction.

Retour de Michel Lelièvre (Waremme)

michel lelievre

michel lelievre

En octobre 2013, LELIEVRE Michel revient au club de karaté de Waremme, pour y enseigner. Il en a été l’un des fondateurs en 1979. Il est ceinture noire 4ème dan et pratique le Shotokan.

Paul Petitjean, enseignant (Remicourt)

Le 3 août 1938, PETITJEAN Paul est nommé instituteur à Remicourt, suite à la création du 4ème degré du cycle d’enseignement primaire.

Les Sépulchrines de Waremme

Vers 1750, il y a 18 sœurs au Couvent des Sépulchrines de Waremme. Elles se donnent à l’instruction publique. Leur pensionnat est très fréquenté.