Guy Coeme, député permanent (Waremme – Liège)

Le 15 mars 1974, succédant à COLLIGNON Emile, le Socialiste COEME Guy est nommé député permanent de la Province de Liège, chargé de l’enseignement provincial. Il est le plus jeune du pays à occuper cette fonction (27 ans), qu’il occupera jusqu’au 12 mars 1981.

Mais en raison de cette charge provinciale, il doit renoncer à celle d’échevin de Waremme.

Joseph Boxus promu (Waremme – Liège)

En 1967, l’ancien directeur du Collège Saint-Louis de Waremme, le chanoine BOXUS Joseph, est nommé vicaire épiscopal pour l’enseignement à Liège.

Joseph Wauters, directeur (Waremme)

En 1910, WAUTERS Joseph est nommé directeur du journal « Le Peuple ». Il succède à DE BROUCKERE. Il occupera cette fonction jusqu’en 1929. Il abandonne définitivement l’enseignement.

Ouverture de l’école Saint-Joseph (Waremme)

Au printemps 1910, avec le coucours de bienfaiteurs, et notamment du Doyen MATERNE Désiré, les Sœurs de l’Institut des Filles de la Croix achètent la maison NIHOUL à Longchamps et y ouvrent l’école Saint-Joseph.

Les soeurs qui enseigneront dans cette école, rejoindront chaque soir leur communauté, installée rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters).

L’éducation des filles à Waremme

En 1907, l’enseignement réservé aux demoiselles, notamment au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, vise essentiellement à leur donner une solide éducation religieuse et des connaissances pratiques, bien plus qu’une formation générale.

L’éducation à Waremme en 1875

En 1875, 25% seulement des enfants terminent l’enseignement primaire à Waremme. L’analphabétisme est généralisé.

L’éducation des filles (Waremme)

En 1866, les filles de Waremme passent de leur père à leur mari, avec pour seul bagage intellectuel les préceptes reçus à la maison.

Des écoles sont installées dans l’ancien Couvent des Sépulchrines (Waremme)

En 1860, les bâtiments de l’ancien Couvent des Sépulchrines sont partiellement occupés par d’autres religieuses, les Dames de la Sainte-Union de Douai, qui poursuivent l’œuvre des Filles du Saint-Sépulchre (Les religieuses ont été empêchées d’enseigner, sous le régime français, lors de la Révolution). Une autre partie des bâtiments est occupée par l’école communale et par la gendarmerie.

Le Bureau de Bienfaisance (Waremme)

En 1855, le bureau de bienfaisance de Waremme distribue du pain aux pauvres, leur paie le médecin et le pharmacien, ainsi que les frais relatifs à l’instruction des enfants.

Projet d’installer un collège (Waremme)

Le 19 mai 1669, le conseil de Waremme est chargé par les bourgmestres d’entrer en contact avec un ordre religieux, afin d’établir dans la ville un collège où seraient enseignées les Humanités. Cette tentative se révélera infructueuse.