Le syndicat « La Gerbe » (Hollogne-sur-Geer)

En 1898, à l’issue d’une conférence de HENAULT Valère, le premier syndicat mutualiste, appelé « La Gerbe », est fondé à Hollogne-sur-Geer. Dans la commune, il y a plusieurs grosses fermes et une bonne cinquantaine d’ouvriers agricoles.

Peu de temps après sa création, ce syndicat obtient les résultats suivants:

  • augmentation de 0,20 franc à la verge de blé coupée;
  • réduction à 10 heures de la journée de travail;
  • suppression du chômage par mauvais temps;
  • lutte contre l’alcoolisme et les jeux;
  • propagande pour l’enseignement primaire et l’école des adultes;
  • une bibliothèque et un cercle d’études
  • une section dramatique qui organise des concerts – conférences.

L’inspecteur cantonal Jamar (Waremme)

En mai 1880, JAMAR N. est inspecteur de l’enseignement primaire du canton de Waremme.

La « Loi Nothomb » (Belgique)

Le 23 septembre 1842, la loi dite « Loi Nothomb » est votée au Parlement belge, à l’unanimité moins trois voix. Elle règle l’enseignement primaire en Belgique.

Le Collège Saint-Louis (Waremme)

En 1995, l’enseignement secondaire du Collège Saint-Louis de Waremme regroupé accueille 1416 élèves et son enseignement primaire regroupé 927 élèves.

Le Collège Saint-Louis (Waremme)

En 1985, l’enseignement secondaire du Collège Saint-Louis de Waremme regroupé accueille 1210 élèves et son enseignement primaire regroupe 923 élèves.

L’enseignement primaire de Waremme devient gratuit

Le 10 janvier 1881, le Conseil communal de Waremme décrète la gratuité de l’enseignement primaire et vote la création d’une école gardienne communale.

Enseignement gratuit pour les indigents (Waremme)

En 1871, le Bureau de Bienfaisance de Waremme décide l’admission gratuite d’indigents dans l’enseignement primaire communal et à l’Ecole Moyenne.

L’école est rétablie à Waremme

L’enseignement primaire avait été désorganisé pendant la période révolutionnaire et la jeunesse de Waremme était, selon l’expression du conseil communal, dans l’ignorance la plus crasse.

Au mois de septembre 1803, il décide de rétablir l’école et charge le révérend MATHY Joseph, prêtre, des fonctions d’instituteur.