Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.
Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.
Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.
En 1906, VANDEBROECK Joseph se charge d’entretenir le nouveau cimetière de Crisnée agrandi, pour un salaire de 100 francs, pendant 3 ans. Il accepte également de creuser les fosses à raison de 3 francs l’unité.
En 1954, VANHERCK Rose, épouse LAPIERRE, est désignée pour l’entretien de l’école de Crisnée, située au lieu-dit « Thièr Dèl Vâ ».
En 1950, PARENT Pierre est désigné pour l’entretien de l’école de Crisnée, située au lieu-dit « Thièr Dèl Vâ ».
En 1933, HEPTIA Marie est désignée pour l’entretien de l’école de Crisnée, située au lieu-dit « Thièr Dèl Vâ ».
En 1929, BURE Léonie est désignée pour l’entretien des locaux de la nouvelle école de Crisnée, située au lieu-dit « Thièr Dèl Vâ ».
Le 12 août 1624, l’archidiacre de Hesbaye accepte la destruction de la chapelle Saint-Romuald au Manil, à Darion. N’ayant pas été entretenue, elle ne permet plus la célébration des services religieux. Le bénéfice de son autel est transféré à l’église paroissiale de Darion.
Le 14 mars 1867, le conseil communal de Hollogne-sur-Geer débat sur le montant de la subvention à payer par la société « NAVEAU et LEDOCTE » pour les frais d’entretien des chemins, suite aux dégradations extraordinaires occasionnées par le transport de betteraves à destination de son usine de sucre.
La société accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à la réparation du chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy ».
En 1937, les cours de l’école d’Oreye sont pavées avec des briques de ciment. Ainsi, les locaux restent plus propres et sont plus faciles à entretenir.
En 1906, le conseil communal de Momalle nomme les demoiselles, JAMART Marie et LENOIR Louise, pour allumer et entretenir les réverbères de l’éclairage public du village.