En 1866, il y a 129 barrières de péage sur les routes de la Province de Liège. Elles lui rapportent, environ, 260.000 francs belges de taxes par an. Une partie de ces taxes permet d’entretenir les routes, l’excédent permet d’en construire de nouvelles.
Cependant, la Hesbaye est très peu dotée de chemins empierrés. Plus de la moitié de l’année, les paysans, les attelages et les voyageurs s’enfoncent de le bourbier des chemins de terre.
En 1954, le garage « VALLEE Frères » est installé à Waremme. Le magasin et le bureau au n° 36 de la rue Joseph Wauters; l’atelier au n° 32 de la rue Gustave Renier.
Il est concessionnaire de la marque « Peugeot ».
Il assure la réparation de voitures de toutes marques, de vélos-moteurs et de motos.
En 1954, la SPRL « Garage PHILIPPART » est installée à la rue de Huy et à la rue des Fabriques, à Waremme.
Elle est concessionnaire de la marque « Citroën ». Elle vend des motos (FN, Socovel, Jawa), des vélos-moteurs et des mobylettes.
Elle assure le graissage, l’entretien et la réparation de véhicules.
Elle est également station-service et vend du carburant.
En 1831, le Congrès National décide de conserver les droits de barrières (péages) sur les routes nationales et provinciales,, et d’en consacrer les revenus à l’entretien et à l’amélioration du réseau routier dans son ensemble.
En général, les barrières sont disposées tous les 5 kilomètres. Elles sont affermées individuellement à des personnes privées, désignées par le biais d’une adjudication publique. Moyennant le paiement d’un montant convenu, le preneur peut exploiter une barrière déterminée.
En 1841, une loi invite les communes belges à « assurer une bonne viabilité de leurs chemins ».
sprl rg chauffage
En juin 2016, l’entreprise de chauffage, poêlerie et sanitaire, la SPRL « RG Chauffage » est installée au n° 114/E Grand Route, à Crisnée.
Elle est active dans la vente, l’installation, l’entretien et le dépannage de:
En mars 2016, BROERS Jérôme reprend la SPRL « Simonis » de Fexhe-le-Haut-Clocher, entreprise de vente, entretien et réparation de machines et matériel de jardinage.
En 1908, la question de l’éclairage public est discutée au conseil communal de Waremme. Les travaux de réalisation sont confiés à la société allemande « Allgemeine Elektricitäts-Gesellschaft » (A.E.G.), qui installe deux génératrice d’électricité.
Cette société s’occupera de l’entretien du réseau et des moteurs jusqu’en 1917.
En 1983, les travaux d’entretien du pont du chemin de fer coûte 148.829 francs à la commune de Waremme.
En juin 1563, le Prince-Evêque de Liège adresse un mandement au Bailli de Hesbaye:
« Vu les mauvaises rues, voies et chemins (…) à raison desquelles nos communs sujets et marchands … ne peuvent (…) passer, chevaucher ni charrier pour le mauvais entretien et réparation d’iceux, il est prescrit à tout seigneur et communauté de faire visiter par la justice (…) toutes fosses droites, rues, voies, ponts, rivières, ruisseaux et passages, de les faire réparer et sous leur pertinente largeur (?) faire élargir et profonder, que l’eau puisse passer et les dits chemins sécher; et tous autres chemins fera un chacun réparer et refaire là et si avant que s’extendent les héritages (propriétés); et ce dans un délai de 2 mois après proclamation de l’édit, sous peine d’une amende de 12 florins. »
L’urgence semble telle que le Prince autorise d’y oeuvrer les dimanches et les jours de fête, après la grand-messe. La plantation d’arbres le long des chemins est encouragée; les frais étant partagés entre le Seigneur, l’autorité publique et le riverain. Les officiers de justice (échevins, mayeur) sont inviter à faire l’inspection de la voirie deux fois l’an: la veille de la Saint-Jean (24 juin) et la Saint-Remy (1er octobre).