En juin 1943, la S.A. « Grandes Ardoises de Herbeumont » livre des marchandises à la Fabrique d’Eglise d’Oreye et à la Fabrique d’Eglise de Fize-le-Marsal.
Les factures sont adressées à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.
En juin 1943, la S.A. « Grandes Ardoises de Herbeumont » livre des marchandises à la Fabrique d’Eglise d’Oreye et à la Fabrique d’Eglise de Fize-le-Marsal.
Les factures sont adressées à la Raffinerie Notre-Dame d’Oreye.
Le 13 mars 1679, la communauté de Thys, d’un « commun consentement à mine riante », envoie 2 délégués à Liège, pour y emprunter 1.000 florins, afin d’éviter l’exécution militaire. Elle les obtiendra du chanoine DE ROVERS.
Le 13 juillet 1872, VANSIMPSEN Jean voit le jour à Oreye. Il épousera BOURDOUXHE Thérèse. Il travaillera à l’édification de la Sucrerie d’Oreye et y sera contremaître. Il sera envoyé à la raffinerie de Pontelongo en Italie, pour y installer des machines-outils.
En 1940, MOYSE Louis, de Lens-sur-Geer, est fait prisonnier par les Allemands et envoyé au camp de concentration de Nordhausen (Dora), où les Allemands construisent des bombes volantes V1. Son épouse est LEMESTRE Laure.
En 1940, le gendarme d’Oreye, BASTIN Charles est fait prisonnier par les Allemands et envoyé au camp de concentration de Nordhausen (Dora), où les Allemands construisent des bombes volantes V1.
En 1938, l’abbé LECHANTEUR, curé de Lamine, envoie un renon à la commune pour le local qu’il lui loue pour abriter l’école communale des filles.
Le 29 août 1911, le conseil communal de Momalle décide d’envoyer, au chef du gouvernement, une véhémente protestation contre le projet de loi scolaire du Ministre SCHOLLAERT.
Début août 1942, le lieutenant RASSART est envoyé au lieutenant RENSON, à Waremme, par les autorités de la Résistance, pour lui faire part de l’arrivée imminente d’un commandant de bataillon, le commandant REYNTENS, dont il sera l’adjoint.
Le 2 août 1831, rompant l’Armistice signé en 1830, l’armée du Prince d’Orange pénètre en Belgique. Conscient de l’inefficacité de la jeune armée belge, le Roi LEOPOLD 1er sollicite l’appui des grandes puissances. La France répondra à cet appel le 5 août et enverra une armée de 50.000 hommes. Les Hollandais, par crainte de graves complications diplomatiques, se retirent et évitent ainsi l’affrontement avec les Français.
En août 1943, DODEUR Marcel, qui a été envoyé à l’usine d’armement Staffelmayer, à Stuttgart, dans le cadre du Service de Travail Obligatoire (STO), revient en permission à Pousset.
Il va passer dans la clandestinité pour ne pas repartir en Allemagne.