On enterre dans le nouveau cimetière (Waremme)

Le 12 août 1855, le choléra sévit dans la région de Waremme. La décision est prise d’enterrer dans le nouveau cimetière. On commence ce jour par un enfant presque mort-né.

Waremme lutte contre le choléra

En août 1866, le Collège de Waremme prend des mesures contre l’épidémie de choléra qui frappe la ville:

  • blanchissage des maisons
  • distribution de paille et de couvertures pour literie aux indigents
  • distribution de vin et de viande aux indigents invalides et malades
  • aspersion à volonté d’eau phéniquée et de chlorure de chaux dans la maison des indigents, dans les canaux, les rigoles et les lieux insalubres de la commune
  • nettoyage des mares d’eau stagnantes et des rigoles
  • déplacement des tas de fumiers de la voie publique et de la cour des habitations

Une épidémie de choléra (Waremme)

En 1866, une grave épidémie de choléra décime la population de Waremme. De l’eau phéniquée et du chlorure de chaux sont répandus à profusion dans les maisons des indigents, dans les canaux, rigoles et lieux insalubres de la commune. Les mares d’eau et rigoles reçoivent un écoulement. Les tas de fumier existant sur la voie publique et dans les cours des habitations sont transportés.

Il n’existe pas d’égouts à Waremme.

1846, une année de chômage et de famine (Waremme)

L’année 1846 est une année de crise et de difficultés dans la région de Waremme, particulièrement pour l’agriculture, dont les récoltes sont compromises par la sécheresse, puis les intempéries. La situation économique et sociale est inquiétante, le chômage sévit cruellement et les prévisions hivernales sont loin d’être rassurantes. Les petits et moyens agriculteurs sont victimes de spéculations, de spoliations et sont conduits à la ruine. Enfin, une épidémie de choléra sévit dans la région.