En 1973, l’équipage RAVET – DOMBRET remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Volkswagen.
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Les Six Heures de Waremme
En 1972, l’équipage RORIFE M. – BERGER P. remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Volvo.
Les Six Heures de Waremme
En 1971, l’équipage PONDANT – DARMONT remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Triumph.
Les Six Heures de Waremme
En 1970, l’équipage DONEUX – DONEUX remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Opel.
Les Six Heures de Waremme
En 1968, l’équipage WAUTERS D. – PIROTTE P. remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Opel.
Les Six Heures de Waremme
En 1967, l’équipage THONON Joseph – RADOUX Joseph remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Motor Club », au volant d’une Opel.
Les Six Heures de Waremme
En 1966, l’équipage Docteur APPELDOORN – Docteur MANETTE remporte le rallye automobile « Les 6 Heures de Waremme », organisé par le « Waremme Racing Car », au volant d’une BMC 850.
Un char de carnaval (Waremme)
Le 5 mars 1961, un char, sous forme de bateau, participe au cortège de Carnaval de Waremme. Il a été conçu par les membres du Comité et assemblé au garage BELLEFROID.
L’équipage est composé de:
- VERJANS Joseph, capitaine
- GAUNE François
- RENARD Marcel
- DETHIER Jacques
- LISMONDE Louis
- MAHIELS, dit « Poulet »
- MANGON Léon
- MOUREAU Jean
- BELLEFROID Freddy
Un avion abattu (Grandville)
Le 11 mai 1940, un bombardier français « Léo 45 », décolle de l’aérodrome de Clastres, près de Saint-Quentin, avec quatre membres d’équipage, pour aller bombarder les ponts du Canal Albert (Vroenhoven et Veldwezelt). Vers 18 heures, il touché par l’artillerie antiaérienne allemande, aux environs de Tongres. Il tente de faire demi-tour, mais il perd de l’altitude au-dessus d’Oreye. Deux membres de l’équipage parviennent à sauter en parachute:
(L’adjudant MOQUELET se tuera en tombant près de Grandville. L’opérateur radio, l’adjudant NATTA Maurice, s’en sortira quasi-indemne. Il sera fait prisonnier par les Allemands.)
L’avion vole tellement bas que son train d’atterrissage accroche les caténaires de la ligne de tramway. Il s’écrase au carrefour « Ramkin », à Grandville, derrière le garage de FILIPPINI Jean.
(Le canonnier, le sous-lieutenant JAQUET périra sur le coup. Le pilote, le sous-lieutenant MOREL René s’en sortira gravement brûlé sur tout le corps. Sorti de l’épave, il sera transporté dans une maison du voisinage, chez GILLES Auguste, et soigné par la fille de la maison, GILLES Nelly, et le Docteur FANIELLE, de Liège, réfugié à Oreye. Il décèdera 2 jours plus tard.)
Raës « à la Barbe » (Warfusée – France)
En 1211, RAES « à la Barbe » encourt la disgrâce de PHILIPPE-AUGUSTE, Roi de France, en raison de la rébellion de son frère aîné RENAUD. (Leur père était le Comte DE DAMMARTIN Albéric II, mort en Croisades en 1193)
Il est obligé de quitter le Royaume de France et vient s’installer (?) à Huy. Il a beaucoup d’argent, de pierreries et un grand équipage. Dans sa suite, il y a nombre de chasseurs (fauconniers). En effet, la chasse et la pêche sont ses divertissements ordinaires.
Il a une oreille percée. Cette caractéristique sera adoptée par ses descendants de l’un et l’autre sexe.
Il épousera DE WARFUSEE Alix, fille de DE WARFUSEE Libert Sureal, riche de plusieurs seigneuries de Hesbaye. Ils auront beaucoup d’enfants qui s’éparpilleront dans toute la région.