Le 22 février 1819, l’Espagne cède la Floride aux Etats-Unis.
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La bataille de Maypu (Chili – Espagne)
Le 5 avril 1818, le Chili est définitivement libéré de l’autorité de l’Espagne, suite à la « Bataille de Maypu ».
Jean-Pierre Pirson blessé pendant la campagne d’Espagne (France – Waremme)
Le 8 janvier 1812, le Waremmien PIRSON Jean-Pierre, soldat au 3ème Régiment de Tirailleurs de la Garde impériale de Napoléon, est blessé d’un coup de feu qui lui fracture les os de la main droite, durant la campagne d’Espagne. Dans le civil, au moment de son engagement, il exerçait la profession de menuisier.
Mort de Pierre-Joseph Gouette (Waremme – Espagne)
Le 4 septembre 1809, GOUETTE Pierre-Joseph, de Waremme, fusilier au 90ème (96ème ?) Régiment d’Infanterie de Ligne, décède à Talareva lors de la campagne d’Espagne, des suites de ses blessures.
Le Traité d’Utrecht (Pays-Bas – Espagne)
Le 11 avril 1713, le « Traité d’Utrecht » met fin à la « Guerre de Succession d’Espagne ».
Gibraltar passe sous contrôle des Anglais (Espagne – Grande-Bretagne)
Le 30 août 1704, l’île de Gibraltar passe sous la souveraineté anglaise, pendant la Guerre de Succession d’Espagne.
La guerre de Succession d’Espagne
Lors de la Guerre de succession d’Espagne, en 1701, Waremme doit à nouveau satisfaire aux exigences des différentes troupes qui passent dans les environs.
Des troupes espagnoles et hollandaises campent à Waremme
Le 1er septembre 1676, des colonnes espagnoles et hollandaises, revenant de Maastricht, viennent se reposer près de Waremme.
Velasquez peint « Les Fileuses » (Espagne)
Hollandais et Espagnols se « querellent » à Waremme
Le 10 janvier 1634, 15 cavaliers hollandais pénètrent dans Waremme et occupent la maison de MACAR Fastré. Trois heures plus tard, on voit arriver 60 cavaliers espagnols qui réclament avec colère la mise en liberté d’un lieutenant de leur armée, détenu prisonnier par les hollandais.
Les bourgmestres, PLESSEREA Gilles et BOUX Gisbert, se rendent avec les Espagnols en la demeure de Fastré Macar, mais y trouvent les Hollandais disposés à se défendre sérieusement. Pour éviter une lutte meurtrière, les magistrats de la ville proposent de prendre le prisonnier sous leur garde et de laisser au Prince-Evêque le soin de décider sur son sort.