Ouverture d’Oreye Medical (Oreye)

Le 1er octobre 2024, la maison médicale « Oreye Medical » ouvre ses portes à Oreye, dans les locaux rénovés de l’ancienne agence de banque « Belfius ». Elle dispose de 3 pièces au rez-de-chaussée et de 3 autres à l’étage.

Travaux au château (Berloz)

En 1884, un étage est ajouté au corps de logis principal du château de Berloz.

La boucherie Vanval endommagée (Berloz)

En novembre 1944, la boucherie de VANVAL Elie, installée au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz, est endommagée par l’explosion d’une bombe volante allemande.

L’état des lieux sera dressé par l’architecte ONKELINX Joseph: Le mur creux de la rotonde de l’étage et le grenier de la maison sont fissurés à plusieurs endroits. Par la suite d’infiltration d’eau de pluie et de l’effet des gelées, la partie extérieure des briques de parement s’est séparée de la construction et s’est effondrée. Les plafonds de la salle à manger et de la chambre à coucher de l’étage se sont abattus par suite de l’explosion. Les fenêtres ont éclaté.

Le coût des travaux, nécessaires à la restauration de la maison, s’élèvera à 6.694 francs.

Reconstruction du presbytère (Hodeige)

En 1847, sous le pastorat de l’abbé DELVAUX, le presbytère de Hodeige est reconstruit de fond en comble. C’est une vaste et commode maison de 13 mètres de longueur, de 8 mètres de hauteur et 9 mètres de largeur, qui comprend 4 pièces au rez-de-chaussée, 5 à l’étage, et plusieurs remises. Le terrain sur lequel elle est bâtie a une superficie d’environ 475 m2.

Le TTC Carrefour réintègre ses anciens locaux (Waremme)

Vers 1960, le club de tennis de table « TTC Carrefour », de Waremme, réintègre ses locaux situés à l’étage du café « Le Carrefour », place de l’Hôtel de Ville, face à la rue Joseph Wauters. Il les avait quittés pendant 2 ans.

Pétré, président (Waremme)

En (?), PETRE remplace DELCHAMBRE Auguste à la présidence du club de ping-pong « TTC Carrefour », situé à l’étage du café « Le Carrefour », situé Place de l’Hôtel de Ville à Waremme face à la rue Joseph Wauters.

La maison du bailli (Bergilers)

Dans la première moitié du 18ème siècle, la maison du bailli est construite à Bergilers, en briques et calcaire, sous une bâtière à coyaux de tuiles en « S ». L’habitation présente 2 niveaux de 4 travées de baies croisées au rez-de-chaussée et à meneaux à l’étage.

Description de la Tour-Colombier (Omal)

En 1932, le Bulletin de la Société d’Art et d’Histoire du Diocèse de Liège publie une description de la Tour-Colombier d’Omal.

 » … Couvrant un rectangle de 7,28 mètres de large, sur une profondeur de 7,67 mètres, elle présente sa façade au N-E. Sa hauteur maximale est de 13 mètres.

Sur un soubassement en moellons de calcaire, haut de 2 mètres, au-dessus duquel court un cordon de même matière, s’élèvent les murs en briques se terminant, à la façade antérieure et à la partie postérieure en pignon dépassant le niveau du toit à deux versants, recouvert de tuiles.

Les murs latéraux ont été élevés avec une inclinaison visible à l’oeil, ce qui a eu pour résultat de leur conférer plus de résistance.

Les angles du bâtiment, du côté de la grand-route, sont garnis sur toute leur hauteur d’un chaînage en calcaire; les deux autres angles ne sont pourvus d’un chaînage analogue que sur leur moitié inférieure.

C’est de calcaire aussi que sont formés l’encadrement de la porte en plein cintre, ceux des fenêtres et les quatre meurtrières percées dans les murailles.

Les rampants des deux pignons montrent un dispositif très caractéristique: les joints des briques sont perpendiculaires à l’inclinaison de ces rampants.

De petits arcs de décharge , en briques, surmontent les linteaux des fenêtres, tandis qu’un double cintre, également en briques, suit la voussure en pierre de la porte.

Ces détails constructifs concourent à la parure de la maçonnerie et sont complétés par des ancrages décoratifs en fer, dont quatre dans le mur longeant la route, forment la date « 1625 ».

Dans la façade, est encastrée une dalle de calcaire portant les armoiries des époux MOLLIN et MENJOYE qui firent édifier le bâtiment.

La porte s’ouvre à une certaine hauteur dans le soubassement. Le seuil se trouve à 1m20 du sol (Le talus, supportant quelques blocs de grès en guise de marches qui y donnent accès, a été établi par après. A l’origine, on devait y parvenir par une sorte d’échelle que l’on pouvait retirer en cas de nécessité).

La porte est composée de planches garnies d’une petite moulure, clouées sur des barres. Ces planches ne sont pas d’égale largeur: les deux planches qui se trouvent au milieu mesurent 11 cm, tandis que de part et d’autre, sont des planches de 24 cm. Cette porte est pendue sur deux pentures en fer forgé, attachées vers l’intérieur. La pièce où elle débouche occupe toute la surface du bâtiment.

Le mur de refend (mur intérieur de séparation), qui s’y voit, a été élevé à une époque plus récente pour supporter les poutres du plafond, qui menaçaient de s’écrouler. Ces poutres, au nombre de quatre, sont posées sur angle, de manière à soutenir les voussettes en briques.

Au fond de la pièce, à l’opposite de la porte, le vaste manteau de cheminée porte sur des pilastres en briques, surmontés d’une tablette en calcaire. On a, postérieurement, éventré le contre-coeur de l’âtre, pour donner ouverture à la gueule d’un four qui a été construit en appendice.

A droite de la porte, un escalier à vis en bois, fort délabré, conduisait à l’étage et se se continuait jusqu’au grenier, dont le plancher s’est effondré et qu’éclairaient deux oculus en briques, aujourd’hui bouchés. Les murs à l’intérieur du dernier niveau sont percés de trente alvéoles pour protéger les pigeons.

Les deux autres pièces prenaient jour chacune par quatre petites fenêtres du type courant dans les constructions liégeoises de l’époque.

Les murs sont, au rez-de-chaussée, percés de quatre meurtrières, dont deux commandaient la grand-route et deux le chemin latéral. Leur présence et le fait que la porte n’était point directement accessible, de même que l’existence aux fenêtres de barreaux de fer garnis de pointes, de volets (qui ont d’ailleurs disparus), donnent à penser que cette construction constituait un refuge établi en vue de résister à un coup de main.

Au cours des guerres du XVIIe siècle, les villageois devaient pouvoir se protéger contre les tentatives de bandes de maraudeurs ou de pillards, soldats licenciés ou mal payés, malandrins en tout genre, que les armées traînaient à leur suite. Le bâtiment se présente sous l’aspect d’une petite forteresse destinée à être utilisée lors du passage de ces bandits. … »

Révolution Fitness (Waremme – Remicourt)

Le 16 février 2018, ANCION Sullivan de Remicourt, ancien policier, ouvre la salle de sports « Revolution Fitness », à l’étage des commerces « Poivre et Sel » et « Al Binète », au n° 244 de la Chaussée Romaine, à Waremme. La salle a une superficie de 620 m2. Une équipe de 10 coaches y travaille.

L’Ecole Moyenne Ménagère Agricole s’agrandit (Waremme)

En 1928, l’Ecole Moyenne Ménagère Agricole de l’Institut des Filles de la Croix, de Waremme, est agrandie. Une cuisine, une salle de famille, une salle de repassage, une buanderie, une laiterie et une fromagerie sont aménagées. Au 1er étage, les soeurs installent 4 classes pour l’école primaire et au 2ème étage, un dortoir pour une trentaine de pensionnaires.

Les travaux sont réalisés par l’entrepreneur STAS François, de Bergilers.