Le 27 mars 1953, un diplôme et un prix en espèces de 2.000 francs belges sont décernés, par le Comité d’Emulation de Waremme, à Madame COLLIN et à ses élèves de la 2ème année moyenne de l’Ecole Moyenne des Filles de l’Etat, pour une étude sur la ville de Waremme.
Vers 1750, le jardin du couvent des Récollets de Waremme est situé entre l’aile du fond de l’édifice et le Geer. Il s’étend même sur l’autre rive du cours d’eau. Cette partie est accessible par un pont, dit Pont des Récollets ». L’ensemble de la propriété du couvent s’étend sur plus d’un hectare. Le légumier occupe 25 verges de terres. Ce potager est garni d’arbres fruitiers et de jets d’eau. Il y a de belles allées bordées d’arbustes, qui favorisent la prière et l’étude en plein air. Il y a également un petit bois et une prairie longeant le Geer (donnée aux Récollets par FRESON Arnold et son épouse ROBERT Jeanne).
Le 15 juin 1889, les fondateurs de la Sucrerie d’Oreye se réunissent en l’étude du notaire JAMOULLE Alfred, pour préparer la fondation de la S.A. « Sucrerie d’Oreye ». L’administrateur-délégué en sera CARTUYVELS Hyacinthe. La sucrerie pourra transformer en sucre brut 300 tonnes de betteraves par jour.
En 1964, MAHY Emmanuel reprend l’étude de notaire de son père, MAHY Armand, à Oreye.
En 1931, MAHY Armand reprend l’étude de notaire de son père (qui porte le même nom), à Oreye. Il exercera cette profession jusqu’en 1964.
Le 11 février 1871, MAHY Armand voit le jour à Antheit. Il épousera GUISSET G. M. Il sera notaire à Oreye. Son étude sera d’abord installée Grand’Route, chez MARCHAL Amédée.
En 1856 (?), GRARD Alexandre-Gilles est nommé notaire à Oreye. Il reprend l’étude de KOCKELKORN Maximilien.
Le 18 janvier 1900, le Conseil Communal de Borlez prend la décision de construire une nouvelle église, à l’emplacement de l’ancienne, jugée trop exiguë et vétuste. Le coût des travaux est estimé à 46.500 francs (?). L’étude est confiée à l’architecte FEILLAT P. de Huy (?).
En 1941, le professeur d’archéologie préhistorique à l’Université de Liège, DANTHINE Hélène, exploite systématiquement le gisement du Paléolithique, découvert dans la sablière KINART, à Omal, par THILY M. et THISSE J. en 1934, à 100 mètres de la Chaussée Romaine, en bordure d’une route qui mène à Les Waleffes.
Ces fouilles révèlent d’importantes traces d’occupation humaine, il y a plus de 50.000 ans: plus de 20.000 silex taillés, de la période « Moustérienne ».
En 1932, SOBOTKOVA Libusé publie une étude sur KRAINS Hubert, natif de Les Waleffes, dans « Le Flambeau ».