En 1896, RENIER Eugène est courtier en marchandises à Waremme.
Eugène Renier, courtier (Waremme)
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Le marchand Renier (Waremme)
En 1896, RENIER Eugène vend de guano à Waremme.
Le bureau de l’Association Libérale Cantonale de Waremme
Le 12 mars 1895, réunion de l’Association Libérale Cantonale de Waremme, durant laquelle le bureau est renouvelé:
- NAVEAU Léon, président
- LEJEUNE, de Hartenge, vice-président
- MOMMENS, vice-président
- RENIER Eugène, secrétaire
- RENIER Joseph, trésorier
Le Comice Agricole de l’Est (Waremme)
Le 31 janvier 1892, le bureau du Comice Agricole de l’Est est réélu à Waremme:
- NAVEAU Théophile, président
- DE SELYS-LONGCHAMPS Raphaël, vice-président
- RENIER Eugène, secrétaire
Plan de nivellement des remparts (Waremme)
Le 14 mars 1891, en séance du Conseil Communal de Waremme, RENIER Eugène propose un plan de nivellement des remparts. Il est soutenu par:
- DOTRENGE
- MARCOTTY
- GERBEHAYE
Céleste Renier (Waremme)
En (?), issue d’une famille bourgeoise de Waremme, RENIER Céleste est le neveu de RENIER Eugène (qui sera bourgmestre de la ville jusqu’en 1914).
Des travaux au château (Longchamps – Waremme)
Le 26 juillet 1884, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond fait venir l’entrepreneur LISMONDE Lambert et le peintre de Waremme RENIER Eugène, pour des travaux au château de Longchamps.
Admissions à la Société Libérale (Longchamps – Waremme)
Le 20 avril 1894, sont admis à la Société Libérale de Waremme:
- RENIER Guillaume, peintre
- RENIER Eugène, négociant
- pour Longchamps: CHARLIER Louis Ch. (fils de CHARLIER Michel) en remplacement de FRERARD
Projet de nivellement des remparts (Waremme)
Le 14 mars 1891, RENIER Eugène, commerçant, DOTRENGE, MARCOTTY et GERBEHAYE H. Victor présentent un plan de nivellement des remparts de Waremme, devant le Conseil Communal de la ville.
DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond estime ce plan « stupide ».
Le premier conseil communal présidé par Charles Lejeune (Waremme)
Le 14 février 1895, le bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Charles, préside son premier conseil communal.
Deux conseillers communaux refusent de voter une prime de 250 francs au commissaire de police de la ville:
- RENIER Eugène, peintre, car le commissaire lui a délivré un procès-verbal pour être resté trop tard au café;
- DUPONT-BOUX Gisbert car le commissaire gène les combats de coqs (pourtant interdits par la loi).