En octobre 1941, le soldat CHARLIER Martin, de Momalle, rejoint l’Angleterre. Après avoir été blessé et évacué en France lors de l’invasion de la Belgique, il a transité par l’Espagne (où il a été interné à la prison de Miranda) et par le Portugal.
Le 10 juin 1940, le soldat CHARLIER Martin, de Momalle, est blessé à la cuisse par une balle allemande. Il est évacué en France.
Le 11 mai 1940, vers 18 heures, un télégramme de l’Inspection de Liège arrive à la gare de Waremme. L’Administration des Chemins de Fer donne l’ordre au chef de la gare de ne conserver que le personnel strictement nécessaire et de faire évacuer vers Gand les agents non indispensables.
Le 11 mai 1940, vers 13 heures, convaincu de l’arrivée prochaine des Allemands, le premier maréchal des logis-chef, MARECHAL Jules, décide de faire évacuer toutes les familles logées à la caserne de gendarmerie de Waremme, et leur demande de quitter les lieux le plus rapidement possible:
Le 12 mai 1944, le comité de l’Union Coopérative signale à la section de Waremme du « Secours d’Hiver » qu’il n’est plus possible d’organiser des spectacles dans la salle du Cinéma Métropole, en raison d’éventuels bombardements, car la salle ne possède pas d’abri assez vaste et son évacuation prendrait trop de temps.
Le 21 avril 1793, le Prince-Evêque de Liège DE MEAN reprend possession de son trône épiscopal, suite à l’évacuation des Français.
Les conseillers de la municipalité de Liège sont bannis. DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Laurent se réfugie à Paris.
Le 5 octobre 2012, en fin de soirée, un incendie se déclare à l’usine « Deufol », située dans le zoning industriel de Waremme. Les ouvriers doivent être évacués. Les pompiers éteignent le sinistre, qui ne fait pas de victime.
Le 21 août 2007, lors de travaux de voirie, une pelle mécanique endommage une conduite de gaz sur la place du Roi Albert 1er à Waremme, à l’entrée de la rue Zénobe Gramme. La police boucle le quartier et fait évacuer toute personne se trouvant dans un rayon de 150 mètres autour de la fuite.
Le 18 novembre 2006, à 1 heure du matin, tous les occupants de l’Internat du collège Saint-Louis de Waremme sont évacués. Un détecteur d’incendie s’est déclenché par la présence de fumées importantes. Arrivés sur les lieux, les pompiers constatent qu’il n’y a pas d’incendie, mais que le contenu d’un extincteur a été vidé.
Le 30 mars 2006, suite à une alerte à la bombe, la police fait évacuer les locaux de l’IPES de Waremme. 750 élèves et professeurs doivent sortir de l’établissement.