En 1859, l’évêque de Liège, DE MONTPELLIER, remarque GILIS (GILLIS ?) Emile au Séminaire et le désigne comme professeur à la toute nouvelle Ecole Moyenne Catholique à Waremme (qui deviendra plus tard le collège Saint-Louis)
En 1388, un « Moulin de l’Evêque » est installé à proximité de la Plate-Tombe, à Waremme.
Vers 1119, l’Evêque OTBERT restitue solennellement au chapitre de Sainte-Croix, un moulin et une brasserie situés à Waremme, près du pont, que le noble dame ERMENGARDE avait donné à l’autel Sainte-Marie-Madeleine de la crypte de l’église Sainte-Croix, du consentement de l’Evêque de Liège Henri , et dont il s’est emparé. (Le chapitre de Sainte-Croix avait déposé plainte à la la Cour Impériale de HENRI IV à Aix-la-Chapelle).
Le 30 juillet 1284, l’Evêque de Liège (?) Jean autorise le clergé de Liège à quitter la ville, à cause des voies de fait des bourgeois.
Le 15 janvier 1235, l’Evêque de Reims, DE LAON G., publie une sentence sur le différend qui oppose l’Evêque de Liège et le Chapitre Saint-Lambert, au sujet de la Châtellenie de Waremme.
Le 29 août 1227, HENRI, Duc de Lotharingie, adresse une lettre à l’Archevêque de Cologne et à son chapitre, dans laquelle il promet de ne plus inquiéter l’Evêque de Liège et son église, dans la possession du château de Waleffe et renonce à ses droits sur ce château.
Le 5 octobre 1236, D’EPPES Jean, Evêque de Liège, fait savoir dans un acte que le Chapitre de Saint-Lambert a acheté au Chevalier DE JENEFFE Bauduin 1er, la dîme de Waremme. Celui-ci la tenant en fief de l’Evêque, il s’engage à dédommager ce dernier avec 135 bonniers de terre.
La nuit du 17 septembre (entre 696 et 705 ?), l’Evêque du diocèse de Tongres – Maastricht, LAMBERT, fait halte dans une petite bourgade en bord de Meuse et y est assassiné. (L’endroit deviendra rapidement un lieu de pèlerinage).
En 718, l’Evêque HUBERT ramène les reliques de SAINT-LAMBERT sur les lieux de son assassinat et y consacre une église. La ferveur populaire va en faire un lieu de pèlerinage prospère. ‘Legia », le nom d’un petit cours d’eau proche de cette église, donnera le nom de « Liège » à cette bourgade.
En 1609, Monseigneur STREIGNART, évêque de T(h)agaste et coadjuteur de Liège, offre un calice, portant les armes de sa famille, à l’église de Kemexhe.