En 1746, des troupes s’installent à Oleye, à plusieurs reprises, et se livrent à des exactions. Elles doivent être nourries par les habitants.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En 1746, des troupes s’installent à Oleye, à plusieurs reprises, et se livrent à des exactions. Elles doivent être nourries par les habitants.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.
En septembre 1675, le Comte DE CORSWAREM Jean II fait partie de la délégation adressée à DESCARRIERES, résident français à Liège, pour qu’il soit mis fin aux exactions des troupes françaises en Hesbaye.
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »
Vers 1100, le village d’Oreye subit les exactions des avoués de l’Abbaye de Saint-Trond, DE DURAS Gislebert et son fils DE DURAS Otton.
En 1692, les habitants de Borlez sont forcés d’abandonner le village, en raison des exactions de l’armée des Alliés contre la France, forte de 80.000 hommes, qui campe à l’Est de la Mehaigne.
Le 6 septembre 1944, REYNTENS Louis ordonne à NELIS Gaston, dit « Joseph », de prendre le contrôle de Waremme, avec un groupe de dix hommes et quatre gendarmes.
LEBURTON Edmond désigne les hommes mis à la disposition de NELIS Gaston:
Avant l’opération, le groupe va se cacher dans la ferme de DOUCET Jules.
Le 7 février 1678, le Conseil communal de Waremme adresse une supplique au Prince-Evêque de Liège pour qu’il accorde un sursis d’un an au payement des dettes communales, en raison des exactions subies des diverses troupes passant ou s’installant à proximité de la ville.
Bien conscient des malheurs de Waremme, le Prince-Evêque accordera le sursis demandé.
En mai 1674, quatre ou cinq compagnies françaises, venant de la garnison de Tongres, passent par Waremme. Elles réclament de la bière et de l’avoine. Elles emmènent moutons et vaches. La plupart des villages voisins sont victimes des mêmes exactions. Mais en payant un tribut de 78 patacons, ils obtiennent la sécurité pour leurs animaux.
En 1590 (?), les Etats de Liège décident de mettre un terme aux exactions perpétrées dans la région par différentes troupes, et notamment par les Espagnols. Pour cela, ils lèvent deux régiments de fusillés à cheval, autant de piquiers, ainsi que six compagnies de miliciens combattant à pied. Les garnisons de Saint-Trond et de Hasselt sont renforcées, tandis que Waremme, spécialement convoitée par les Espagnols, reçoit quatre pièces d’artillerie et un fort contingent de cavaliers et de fantassins. Le commandement de ces troupes est confié à BOUX Gisbert. Ayant connaissance de ces dispositions défensives, FARNESE Alexandre préfère « établir ses pénates » en d’autres lieux.