En 1897/1898, la Société d’Harmonie d’Oreye intente une action devant le Juge de Paix de Waremme, contre le Sieur PAQUES (?) en restitution d’un drapeau et d’objets de musique. Le Sieur PAQUES avait été exclu de la société. Le Juge de Paix suppléant qui siège dans cette affaire est GERMEAU M. F..
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Jules Coen, exclu du PRL (Waremme)
En janvier 1987, en séance du conseil communal, le bourgmestre de Waremme, COEME Guy, lit une lettre du président de la fédération de Waremme du PRL, BLANCHE Marc, qui annonce que COEN Jules est exclu du parti.
La Fédération reproche à COEN Jules ses prises de position portant préjudice au PRL.
Lors de la séance, le conseiller communal PRL, LAMBERT Alexis, s’élève contre cette attitude et déclare qu’il siègera, avec COEN Jules, comme libéral indépendant.
STRAUVEN Eddy sera donc l’unique représentant du PRL au conseil communal.
Fattah el-Hani, exclu (Waremme)
L’Afrique du Sud exclue des Jeux Olympiques
Le 12 août 1964, l’Afrique du Sud est exclue des Jeux Olympiques en raison de sa politique d’Apartheid.
Trotski relevé de ses fonctions en URSS
Trotski, exclu du parti communiste (URSS)
Le 12 novembre 1927, TROTSKI Léon est exclu du parti communiste de l’URSS par STALINE.
Impliqué de près dans la création de l’Union Soviétique, il était initialement l’incontestable « N° 2 » derrière LENINE. D’abord en tant que Ministre des Affaires Etrangères, ensuite comme Ministre de la Défense, il a permis au tout jeune Parti Communiste de sortir vainqueur de la guerre civile, et a écarté le risque d’une intervention militaire étrangère.
Bien que TROTSKI soit considéré comme le successeur logique de LENINE, STALINE se montrera beaucoup plus habile et plus impitoyable, au moment de la succession. Il dressera se rivaux l’un contre l’autre (TROTSKI, KAMENEV et ZINOVIEV) et réussira à tirer la couverture à lui.
Au Congrès du Parti de 1927, il se sentira suffisamment fort pour évincer TROTSKI du Politburo et l’exiler en Asie Centrale. Les deux autres opposants seront provisoirement maintenus dans leurs fonctions, après avoir humblement reconnus « leurs torts ».