Des agriculteurs d’Oreye

En avril 1257, l’abbaye de Saint-Trond possède 68 bonniers de terres cultivables et une importante superficie boisée, à Oreye.

Les terres sont exploitées par:

  • CLAMIN et GODIN: 3 bonniers, 7 verges grandes, 7 verges petites
  • DE LIKE Arnold: 10 bonniers, 3 verges grandes
  • DE LENS Henri: 2 bonniers, 2,5 verges grandes
  • GOSWIN: 22 verges grandes
  • BONVARLET Gilbert: 32 verges grandes, 3 verges petites
  • TELLA Libert: 1/2 bonnier
  • DU MARAIS Jean: 13 verges grandes
  • DE LA VALLEE Henri: 5 bonniers, 3 verges grandes
  • FABER Gérard: 3 bonniers, 2 verges petites
  • HANS: 2 bonniers, 10 verges grandes
  • SCHABBARTH Jean: 36 verges grandes, 7 verges petites
  • DE LUDE Jean et Jacob: 5 bonniers, 4 verges petites
  • HENRI, dit « L’Avoué » : 5 bonniers, 6 verges petites
  • RODOLPHE: 6 bonniers
  • DE LA VALLEE Jean: 3 bonniers, 3 verges grandes
  • ERKENNE, l’intendant: 10 bonniers

De plus, l’intendant ERKENNE cultive 3 bonniers en rétribution de son administration (pour lesquels il ne paie pas de loyer. Il en va de même pour le bucheron)

Viemme en 1834

En 1834, il y a 354 hectares exploités pour l’agriculture, dont 37 pour la culture fruitière, à Viemme (sur un total de 402).

La ligne vicinale Les Walettes – Ans

En février 1939, la société qui exploite la ligne vicinale d’autobus « Les Waleffes – Ans » cesse ses activités.

Le magasin de matériaux de Gustave Joachim (Waremme)

En février 1933 (1937 ?), JOACHIM Gustave exploite un commerce de bois et de matériaux de construction à Waremme. Il est dépositaire de la marque « Eternit ».

Pierre Stas, tailleur de pierres (Bettincourt)

En mai 1933, STAS-JEANDARME Pierre exploite une entreprise de pierres de taille, de cheminées en marbre et en granit, de tuiles, … à Bettincourt.

Essential Nails (Waremme)

En 2016, l’institut de modelage d’ongles « Essential Nails » s’ouvre au n° 4 de la rue Hubert Stiernet, à Waremme. L’exploitante est POESMANS Corinne (?).

Fermeture de la râperie (Hollogne-sur-Geer)

En janvier 2009, la râperie de Hollogne-sur-Geer doit fermer ses portes.

Elle a été fondée en 1865 et est devenue trop vétuste. Elle est jugée trop « énergivore » par la Raffinerie Tirlemontoise qui l’exploite. Elle employait une quinzaine d’ouvriers permanents, qui seront recasés sur d’autres sites du groupe. Elle employait également une quarantaine de saisonniers. Les agriculteurs de la région devront parcourir plus de kilomètres pour décharger leur stock de betteraves.