En 1944, MOSSOUX Pierre et ses fils MOSSOUX Alfred et MOSSOUX Léon exploitent une forge, rue de Huy à Waremme, à quelques dizaines de mètres du viaduc. Ils y ferrent les chevaux et y réparent les chariots.
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Le café « Pèpète », bombardé
Le 11 mai 1940, le café « Pèpète », situé au croisement de la route de Huy-Waremme et de la route de Warnant-Dreye, est bombardé par l’aviation allemande.
Ce café est exploité par LIZIN Camille, dit « Pèpète » et est surtout fréquenté par les voyageurs du Chemin de Fer Vicinal.
Le Café « Pèpète
En août 1944, le café « Pèpète » est situé au croisement de la route de Huy – Waremme et de la route de Warnant-Dreye. Il est exploité par LIZIN Camille, dit « Pèpète ».
Cécile Boux, cafetière (Waremme)
En juin 1944, BOUX Cécile exploite un petit café, rue de Huy à Waremme, près de la société « HESBACO » et de la scierie « HAMBOISE ». Elle a aménagé un petit hangar, à côté de son café, pour que les « navetteurs » de Viemme et de Faimes puissent remiser leur vélo.
Elle est âgée d’une quarantaine d’années et est toujours célibataire.
La scierie « Hambroise » à Waremme
En 1922, la scierie « HAMBROISE », exploitée par les frères HAMBROISE François et HOMBROISE Charles, vient s’installer à la rue de Huy, à la sortie de Waremme, non loin des Etablissements « WERY ».
La boulangerie « Mathot » (Waremme)
En juin 1944, les soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine exploitent une boulangerie au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme. Une vitrine s’ouvre sur le carrefour et une autre sur la rue de Huy.
Les fruits et légumes de Guillaume Stouvenakers (Waremme)
En juin 1944, STOUVENAKERS Guillaume vit avec sa soeur, STOUVENAKERS Jeanne, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.
Il exploite un potager rue Sous-le-Château. Il utilise l’étalage de salaisons de sa soeur pour vendre le surplus de légumes de son potager et les fruits de son potager.
Il a été charcutier. Il est toujours célibataire, comme sa soeur.
Jeanne Stouvenakers, commerçante (Waremme)
En juin 1944, STOUVENAKERS Jeanne exploite un petit magasin de salaisons, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.
Elle est âgée d’une soixantaine d’années et est toujours célibataire.
Elle vit avec son frère, STOUVENAKERS Guillaume.
Jules Heyne, taxi (Waremme)
En 1944, HEYNE Jules et son épouse, HENNIN Simone (une des filles du pharmacien HENNIN), habitent rue Zénobe Gramme à Waremme.
Il possède une voiture, qu’il utilise régulièrement pour transporter des clients du café « Aux Sports », exploité par son père HEYNE Léon.
Le café « Aux Sports » (Waremme)
En juin 1944, le café « Aux Sports » est installé rue Joseph Wauters, à Waremme. Il est exploité par HEYNE Léon.