Le Centre Culturel (Momalle)

Le 2 décembre 1989, le conseil communal de Remicourt décide l’extension du Centre Culturel de Momalle.

Extension du réseau d’égouts (Waremme)

En (?), le réseau d’égouts de Waremme est étendu lors de la création de la voirie dans l’avenue du Prince Régent et l’avenue de la Résistance. A cette occasion, les égouts sont également installés rue de Huy et rue Stanislas Fleussu.

L’écrémeuse Mélotte (Remicourt)

En 1888, avec des moyens rudimentaires, MELOTTE Jules, de Remicourt, met au point une écrémeuse à force centrifuge, dont le bol est suspendu à un axe mobile (contrairement aux machines existantes, dont le bol est soutenu).

Pour cette innovation, il recevra le Prix du Progrès, au Grand Concours International de Bruxelles. Elle va provoquer une révolution dans les milieux agricoles et entraîner une extension considérable des installations de l’entreprise.

écrémeuse mélotte

écrémeuse mélotte

Elle se compose d’un bâti en fonte portant le mécanisme construit en acier et en bronze.

Sur la face supérieure, se trouve le bac-réservoir en fer blanc, dans lequel on verse le lait immédiatement après la traite. Le lait fraîchement trait a une température de 30 à 35 degrés, température la plus favorable pour la séparation de la crème et du lait maigre.

En ouvrant le robinet de ce réservoir, le lait passe dans le régulateur d’alimentation, d’où il s’écoule dans le bol ou turbine.

La vitesse nécessaire est obtenue en faisant 40 tours de manivelle par minute. Le lait entier, arrivé dans le bol, est soumis à l’action de la force centrifuge. Il se sépare immédiatement en deux parties: la crème et le lait maigre. 

Aussitôt le réservoir vidé, la séparation complète de la crème et du lait est réalisée. Il ne reste plus alors qu’à laver le bassin et la turbine.

Darina-Galina veut s’étendre (Oleye)

En avril 2016, la SPRL « Darina-Galina », dont le siège est situé au n° 3 de la chaussée de Nivelles, à Oleye, introduit une demande d’extension de son exploitation avicole, pour passer de l’élevage de 20.100 à 46.100 volailles.

Le gérant de la société est ETIENNE Eddy.

Le Prince-Evêque devient suzerain de Hemricourt

En août 1287, un accord est conclu entre le Seigneur DE HEMRICOURT Guillaume et le Prince-Evêque de Liège, Jean. Aux termes de cet accord, le Seigneur de Hemricourt (Remicourt) devient le vassal du Prince-Evêque, moyennant une rente annuelle de 200 muids d’épeautre. Cette inféodation constitue un épisode de la rivalité opposant le Prince-Evêque au Duc DE BRABANT.

Jusque-là, les Seigneurs de Hemricourt n’avaient pas de suzerain ou de supérieur féodal. A partir de ce moment, le Seigneur de Hemricourt renonce à son indépendance, en échange d’une rente annuelle.

Une rente de 200 muids représente une grosse somme. Elle se justifie par le fait que la Principauté de Liège est menacées par les Ducs de Brabant, qui désirent étendre leurs territoires vers l’Est. Cette poussée va entraîner la bataille de Woeringen et l’annexion du Limbourg. Pour résister à cette pression, le Prince-Evêque doit pouvoir compter sur l’appui militaire des Seigneurs se trouvant dans la partie de la Principauté, convoitée par les Brabançons.

La Seigneurie devenant fief, son statut juridique change. Elle ne pourra notamment plus être transmise, par succession, par vente, …, que moyennant des formalités juridiques (relief, transport, …) qui relèvent de la compétence de la Cour féodale du Prince-Evêque.

La « Loi de Liège » en application à Lantremange

En 1445, la « Loi de Liège » est bien en application à Lantremange, au côté de la « Loi d’Aix », malgré les termes de la « Concordia Amicabilis » du 12 mars 1300.

Par l’introduction de sa Loi dans la Justice de Lantremange, le pouvoir liégeois a réalisé un empiètement substantiel, qui servira d’autres desseins. Sans doute, pour l’instant, la Loi de Liège ne s’applique encore qu’aux droits et propriétés du nouveau Seigneur, mais par une extension progressive, elle va s’infiltrer dans d’autres secteurs de la vie juridique et économique de la communauté de Lantremange.

La volonté d’usurpation ne se limite pas au seul village de Lantremange, ni à la Principauté liégeoise. Parmi les voisins de Stavelot-Malmedy, Cologne, Aix-la-Chapelle, les Ducs de Luxembourg et de Limbourg, participent à « la curée ». La petite Principauté ardennaise a toujours souffert de l’absence d’une force armée capable de défendre son droit.

Un nouveau terrain communal près du stade (Waremme)

Le 16 mars 1987, le Conseil Communal de Waremme décide d’acheter un terrain, jouxtant le stade de football. Il pourra permettre, le cas échéant, l’extension de l’infrastructure sportive.

Les travaux à l’école de Longchamps sont terminés (Waremme)

En juin 1988, les travaux d’extension de l’école de Longchamps de Waremme, entamés en 1985, sont terminés.

Les travaux auront, au total, coûtés plus de 110.000.000 de francs.

Les nouveaux locaux comprennent:

  • Une salle audiovisuelle, baptisée « Jules Etienne », ancien échevin de l’enseignement.
  • Une bibliothèque, baptisée « Alphonse Masson », inspecteur cantonal honoraire.
  • 12 classes primaires.
  • 2 classes pour l’enseignement confessionnel.
  • 8 classes pour activités secondaires
  • 2 agoras.
  • 2 réfectoires.
  • Une cuisine équipée.
  • Une salle de travaux manuels lourds.
  • Une salle de gymnastique de 24 mètres sur 12 mètres, équipée de douches et de vestiaires.
  • Une mini-crèche possédant sa propre cuisinette.
  • Une buanderie.
  • Des locaux administratifs.
  • Un espace modulable, plus particulièrement adapté aux tous jeunes, de 4 à 6 classes, avec des espaces « marionnettes », « bibliothèque », « nature vivante », « sable », …

Waremme investit dans l’eau

En juin 1985, le Conseil Communal de Waremme décide de souscrire 223 parts de 1.000 francs dans le capital de la Société Nationale de Distribution d’Eau (SNDE), afin de permettre l’extension du réseau de distribution de la rue des Prés.