Jusqu’en 1924, il n’y a pas de chauffage dans l’église de Crisnée. Avec l’arrivée de l’abbé STALS, la Fabrique d’Eglise décide d’installer un poêle à charbon. Il a été fabriqué par « Bert-li-Mignon ».
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La Chaire de Vérité de l’église (Crisnée)
Vers 1913, l’ébéniste DUJARDIN Stanislas réalise la Chaire de Vérité et les confessionnaux de l’église de Crisnée.
Les bancs de l’église (Crisnée)
En 1865, BOLLAND Henri fabrique des bancs et des chaises pour l’église de Crisnée.
Les Allemands s’emparent des cloches (Hesbaye)
En mars 1943, les Allemands décident d’enlever les cloches des églises, pour pallier au manque de bronze dans la fabrication des armes.
La S.A. Moteurs Moës (Waremme)
En 1912, la S.A. « Moteurs Moës » est fondée à Waremme. Elle fabrique des moteurs diesel et de petites locomotives de mine équipées de ces moteurs.
L’Opération Gutt (Belgique)
Entre le 9 et le 13 octobre 1944, un mois après la Libération, sur proposition du ministre GUTT, le gouvernement belge fait procéder à un retrait des billets de 100, 500 et 1.000 francs, pour réduire l’inflation. Il y a, en effet, un flot considérable de billets en circulation.
Chaque détenteur de billets ne peut recevoir en échange que 2.000 francs en nouveaux billets de couleur rouge (fabriqués en Angleterre). Le reste est bloqué et ne sera libéré qu’au fur et à mesure de l’amélioration de la situation. Cette opération permet de mettre à jour les bénéfices de guerre, mais fait aussi des victimes parmi les petits épargnants.
La cire Gonthier (Waremme)
En 1906, GONTHIER A. fabrique et vend de la cire, à Waremme.
La cire Fraipont (Waremme)
En 1906, FRAIPONT J. fabrique et vend de la cire, à Waremme.
« Dj’Han l’nahi »
En (?), en Hesbaye, le fermier d’un village, qui termine en premier les travaux de moisson, fabrique un mannequin de paille, appelé « Dj’Han l’nahi » (Jean le fatigué), coiffé d’un chapeau de moissonneur, vêtu d’un sarrau, muni d’un râteau édenté, portant en bandoulière une besace et un bidon. Il va ensuite le planter dans le champs d’un voisin qui n’a pas encore terminé. Le mannequin passe ainsi des terres d’un agriculteur à celles d’un autre, au fur et à mesure de l’avancement des travaux. Le dernier cultivateur qui en hérite, doit payer à boire aux autres et à leurs ouvriers. Enfin, le mannequin est livré aux flammes dans la liesse générale.
L’entreprise Mélotte se développe (Remicourt)
Vers 1900, MELOTTE Jules se base sur le modèle américain, pour développer son entreprise de Remicourt. Il l’oriente définitivement sur la fabrication de la seule écrémeuse, dont toutes les pièces sont produites sur place, grâce à des machines-outils perfectionnées.