En 1962, les époux COLON, anciens restaurateurs, se lancent, à Waremme, dans la fabrication de sauce pour le filet américain, qu’ils vendent aux bouchers de Waremme et de la région.
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L’entrée de l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)
En juillet 1958, le porche d’entrée de l’Institut des Filles de la Croix, rue Joseph Wauters à Waremme, est rénové : la lourde porte en chêne est remplacée par une grille en fer forgé, réalisée à l’Institut Technique Saint-Laurent de la ville.
L’atelier de Jean Boux (Waremme)
En 1928, BOUX Jean installe un atelier au Nouveau Chemin à Waremme (future rue Stanislas Fleussu). Il a déposé le brevet d’une machine destinée à la fabrication de blocs d’agglomérés.
La S.A. Industrie Agricole (Waremme)
En 1920, l’usine d’engrais chimiques « Beauduin Fils et Consorts », installée près de la gare de Waremme, rachète l’entreprise « Mélapaille », fondée par LECLOUX Gustave (cette entreprise fabrique un composé de paille mélangée à de la mélasse) et crée la « S.A. Industrie Agricole ».
La manufacture de tabac de Ferdinand Gillet (Waremme)
Après la Première Guerre Mondiale, GILLET Ferdinand installe une petite manufacture de tabacs à Longchamps, rue Cochoul (qui deviendra la rue Hubert Krains). Il emploie plusieurs ouvriers et ouvrières. Il fabrique notamment des cigarettes qu’il vend sous la marque ALZA, cigarettes hygiéniques !
Restrictions de savon à Waremme
Le 15 mars 1916, les Allemands imposent des restrictions à la fabrication des savons.
La pâtisserie est limitée par les Allemands (Waremme – Allemagne)
Le 25 novembre 1915, l’occupant fait savoir aux boulangeries, pâtisseries et restaurants, qu’ils ne peuvent fabriquer des « pâtisseries de tout genre » que le mercredi et le samedi.
La rue de Huy, au-delà du Viaduc (Waremme)
En août 1914, au-delà du viaduc de la rue de Huy à Waremme, il n’existe pratiquement alors aucune construction. La rue est bordée de noyers. Ils seront abattus par les Allemands pour alimenter en bois leurs fabriques de fusils.
De nouveaux bâtiments pour les « Ateliers Moës » (Waremme)
En 1912, devant le succès de leur moteur dans les petites entreprise (meuneries, menuiseries, …), les frères MOES Edouard, MOES Auguste et MOES Paul quittent le centre de Waremme et s’installent en périphérie. Ils font bâtir de vastes ateliers au numéro 62 de la rue de Faimes (qui deviendra plus tard la rue de Huy), juste à la sortie de la ville, dans un vaste complexe de 2 hectares et demi. Ils y installent les « Ateliers MOES » et vont y fabriquer leur fameux moteur.
Le sucre cristallisé a du succès (Oreye)
En 1905, pour répondre à la concurrence, la Sucrerie Notre-Dame d’Oreye s’oriente vers la fabrication de sucre cristallisé.