En 1967, en Belgique, une femme bourgmestre peut exercer elle-même les compétences judiciaires et de police propres à sa fonction.
Archives par mot-clé : femmes
Une femme peut devenir notaire (Belgique)
En 1950, en Belgique, une femme peut devenir notaire (moyennant l’autorisation du mari pour une femme mariée).
Une femme peut devenir magistrat (Belgique)
En 1948, en Belgique, une femme peut être admise à la Magistrature.
Une femme peut plaider devant la cour de Cassation (Belgique)
En 1947, en Belgique, une femme peut devenir avocat près la Cour de Cassation (moyennant l’autorisation du mari pour la femme mariée)
Une femme peut devenir avocat, mais pas juge (Belgique)
En 1922, en Belgique, une femme docteur en droit peut devenir avocat (moyennant l’autorisation du mari pour une femme mariée), mais elle ne peut devenir juge suppléant.
Une femme peut devenir bourgmestre (Belgique)
En 1921, en Belgique, une femme peut devenir bourgmestre, échevin ou secrétaire communal (moyennant l’autorisation du mari pour la femme mariée), mais elle ne peut exercer de compétences judiciaires ou de police.
Les femmes peuvent être témoin (Belgique)
En 1908, en Belgique, une femme peut être témoin dans les actes d’Etat Civil. Elle peut également devenir tuteur.
Les femmes et l’argent (Belgique)
En 1900, en Belgique, une femme mariée peut ouvrir elle-même un carnet d’épargne et retirer jusque 100 francs par semaine. Elle peut également conclure un contrat de travail et percevoir son salaire, jusque 3.000 francs par an.
Le droit des femmes progresse (Belgique)
En 1890, les femmes sont admises à tous les grades académiques et aux professions de médecin et de pharmacien en Belgique.
Une femme peut exercer la médecine (Belgique)
En 1884, un arrêté-royal spécial donne à la femme médecin le droit d’exercer sa profession en Belgique.