Vanderveck et Fils (Pousset)

En novembre 2019 et avril 2023, l’entreprise de châssis, portes et fenêtres « VANDERVECK et Fils » est installée au n° 39 de la rue de la Mer à Pousset. Le gérant est VANDERVECK Patrick:

  • châssis
  • portes
  • vérandas
  • pergolas
  • portes de garage
  • volets
  • moustiquaires
  • motorisation

Incendie à l’Hôtel Provincial (Liège)

Le 31 mars 1845, un incendie se déclare à l’Hôtel du Gouvernement Provincial à Liège. Les archives sont jetées par les fenêtres pour les sauver des flammes. Beaucoup seront égarées ou brûlées. 15 personnes sont blessées.

Vanderveck et Fils (Pousset)

En mars 2014, les « Ent. VANDERVECK et Fils » sont installées au n° 33 de la rue de la Mer à Pousset. Elle fabrique:

  • Portes
  • Fenêtres
  • Volets
  • Portes de garage
  • Vérandas

La boucherie Vanval endommagée (Berloz)

En novembre 1944, la boucherie de VANVAL Elie, installée au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz, est endommagée par l’explosion d’une bombe volante allemande.

L’état des lieux sera dressé par l’architecte ONKELINX Joseph: Le mur creux de la rotonde de l’étage et le grenier de la maison sont fissurés à plusieurs endroits. Par la suite d’infiltration d’eau de pluie et de l’effet des gelées, la partie extérieure des briques de parement s’est séparée de la construction et s’est effondrée. Les plafonds de la salle à manger et de la chambre à coucher de l’étage se sont abattus par suite de l’explosion. Les fenêtres ont éclaté.

Le coût des travaux, nécessaires à la restauration de la maison, s’élèvera à 6.694 francs.

Chassi’dylic (Oreye)

En mai 2014, la société, la SPRL « Chassi’Dylic » est installée au n° 2 de la rue du Pont à Otrange (Oreye), spécialisée dans la pose de:

  • Châssis (en PVC, aluminium et bois)
  • Portes
  • Fenêtres
  • Portes de garage
  • Volets
  • Moustiquaires

La gérante est LUCAS Linda.

Travaux au château (Longchamps)

Le 3 juillet 1879, des travaux sont en cours au château de Longchamps:

par les ouvriers de DELVAUX, dont le chef d’équipe est GUILLAUME

  • cheminée de la salle de bain
  • réservoirs d’eau au grenier
  • bouches d’eau aux 1er et 2ème étage
  • commodités des domestiques
  • entresol à neuf

par le maçon LISMONDE:

  • commodités
  • cloison de la salle de bain
  • plafonnage
  • loge aux bateaux
  • nouvelles fenêtres aux écuries

par GABRIEL et THOMAS:

  • 8 nouvelles chambres au-dessus de l’écurie

Travaux au château (Longchamps)

Le 1er septembre 1879, des travaux sont en cours au château de Longchamps:

  • peinture du pont en fer du temple
  • placement de fenêtres à l’écurie
  • placement de réservoirs d’eau au grenier

Des fenêtres à l’Orangerie (Longchamps)

Le 20 septembre 1882, des fenêtres sont installées à l’Orangerie du château de Longchamps.

Des fenêtres à l’Orangerie (Longchamps)

Le 16 juillet 1883, de nouvelles fenêtres sont percées à l’Orangerie du château de Longchamps, du côté du Geer.

Fin des travaux à l’église (Hodeige)

En 1906, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont achevés.

La « nouvelle » église comprend maintenant 3 nefs, séparées par 2 rangées de colonnes très espacées et formant 2 travées de chaque côté, sans compter les arcades ouvertes sur le sanctuaire qui reposent sur 2 piliers massifs.

Les colonnes de la nef principale sont cylindriques, peu élevées et d’un diamètre de 40 cm. Les chapiteaux, dont le tailloir est octogonal, présentent une ornementation très simple en bosselage (semblable à celle que l’on rencontre dans les églises de Thys et de Momalle) et qui représente des feuilles d’eau. L’intrados des arcs doubleaux est en pierre de taille, ornée de moulures.

Les 3 nefs donnent à l’église une largeur de 17 mètres, tandis qu’en faisant abstraction des chapelles ouvertes de chaque côté du chœur que l’on peut considérer comme un transept apparent, ainsi que de l’avant-chœur, elles ne lui donnent en longueur que 10 mètres 50. Ce manque de proportion n’est pas aussi choquant que l’on pourrait croire, parce qu’il se rachète par les chapelles et l’avant-chœur, d’une part, et, d’autre part, par le prolongement des nefs latérales contre la tour, elle-même évidée par une grande arcade.

L’intérieur est à peu près carré. Les colonnes étant très minces et fort espacées, l’abside du chœur étant peu profonde, et la dernière marche de l’autel se trouvant dans l’alignement des murs formant les chapelles, il en résulte un précieux avantage: les fidèles placés dans les bas-côtés peuvent voir le prêtre à l’autel.

Dans chaque mur latéral du chœur, il y a une fenêtre du style primaire, dont les meneaux sont en pierre de sable et dont les arcs sont trilobés. Le mur plat de l’abside est orné d’une grande fenêtre de même style, mais se distinguant de ses deux voisines par ses dimensions; ses arcs sont également trilobés. Conçue dans de gracieuses proportions, elle produit un bel effet.

Le chœur est couvert par une voûte en bois (pitch-pin) dépourvue de charpente apparente. Cette partie de l’église (qui selon toute probabilité a remplacé une ancienne construction en style roman) appartient toute entière au style du XIIIème siècle.

Un arc triomphal, dont l’intrados est une pierre calcaire, sépare le chœur de la nef centrale, et le pignon qu’il soutient est percé de 3 claire-voies qui allègent le poids du mur et servent en mêle temps d’ornement.

Le nef principale, éclairée seulement par les fenêtres des bas-côtés, est couverte par une voûte en bois et la charpente apparente a été remplacée par des tirants de fer (dont la présence fait penser à un édifice que l’on a voulu consolider !).

Les bas-côtés, qui n’ont pas de toit en appentis, mais en raison de leurs murs surmontés de plusieurs frontons triangulaires, sont couverts par des cesceaux (?) transversaux en bois dont la voûte est en pans coupés reliés par des moulures (alors que la voûte de la chapelle qui existait du côté de l’Épitre avant la restauration était en plein cintre et ornée de plusieurs nervures, ce qui lui donnait une forme plus gracieuse). Le voûtement des bas-côtés ne paraît pas tout-à-fait réussi.

La tour, très ancienne, n’est qu’une masse informe, sans cachet architectural et que couronne une flèche à 4 pans.

Extérieurement, l’édifice se fait remarquer par les frontons triangulaires et très pointus qui surmontent les bas-côtés. Chacun de ces frontons encadre une fenêtre du style flamboyant le plus pur et le plus élégant, partagée en 3 formes par les meneaux en pierre de sable reliés entre eux par des arcs surbaissés, et dont le tympan est rempli par des courbes décrivant un ensemble de figures, dont les plus nombreuses sont des flammes ascendantes ou renversées. Ces divers dessins, exécutés avec beaucoup d’art, font honneur à l’ouvrier chargé de ce travail.

Ces fenêtres sont au nombre de 3 du côté de l’Epitre, où se trouve la porte principale (au-dessus de laquelle se trouve une fenêtre en forme de triangule curviligne, dont le remplage est formé par des flammes et des trèfles pointus ou des cœurs allongés), et au nombre de 4 du côté de l’Evangile, si bien proportionnées, d’un dessin si varié, projetant sur l’ensemble de l’édifice un effet saisissant (aussi bien paraît mesquine cette petite ouverture, que l’on peut appeler « lucarne », qui se trouve dans chaque mur du fond des bas-côtés).

Les murs, dont le revêtement est en moellons de pierre, dite « castaine », et de silex dans la partie ancienne, et de calcaire dans la partie neuve, ont leur surface ornée de chaînages horizontaux en pierre de sable (le chœur excepté).

Le fenestrage présente des teintes bien assorties, et un vitrail représentant Sainte-Philomène (honorée d’un culte spécial dans la paroisse de Hodeige) est déjà placé dans la chapelle qui lui est dédiée.