En 2014, la « Fête du Champagne » de Berloz fête son trentième anniversaire. Elle est organisée à la Ferme de Hesbaye, installée au n° 16 de la rue de l’Eglise à Corswarem. ROPPE Joseph est la cheville ouvrière de la fête.
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Pascal Destexhe, maraîcher (Verlaine)
En 2011, la ferme de DESTEXHE Pascal, à Verlaine, consacre la totalité de ses terres à la production maraîchère.
Les asperges des frères Goffin (Rosoux)
En décembre 2011, les frères GOFFIN de Rosoux (dont GOFFIN Jules-André) cultivent 5 hectares d’asperges vertes, vendues directement à la ferme, envoyées vers la grande distribution et vendues aux restaurateurs.
Ils en produisent entre 20 et 25 tonnes par an. Les asperges vertes étant fragiles et craignant beaucoup les bourrasques de vent, ils ont été obligés de planter des haies pour protéger leur production.
Madame Renkin (Jeneffe)
Vers 1950 (?), Madame RENKIN travaille à la ferme DANS à Jeneffe.
La ferme Dulaunoy (Aineffe)
En 1965, la ferme avicole DULAUNAOY est installée au n° 40 de la rue de Viemme à Aineffe.
François Halleux, fermier (Hodeige)
En 1903, HALLEUX François exploite une ferme, près de l’église de Hodeige, à l’emplacement de l’ancien château de la famille DE DONCHERFF (DE DONCEEL ?).
Guillaume Vroninx, curé (Pousset – Lamine)
En 1675, l’abbé VRONINX Guillaume est curé de Pousset. Il possède une ferme à Lamine.
Le presbytère de Hodeige
Entre 1750 et 1782, le curé de Hodeige, l’abbé VILLEGIA Antoine, habite le presbytère de la paroisse. Véritable ferme, comprenant corps de logis, basse-cour, grange, étables, fournil contenant four et chaudière pour la fabrication du sirop, ainsi que des cuves pour brasser la bière ou faire du vinaigre.
Outre ses trois soeurs qui habitent avec lui, un domestique et sa femme résident également au presbytère et s’occupent des travaux agricoles.
La ferme Colon (Hodeige)
Vers 1704, la ferme COLON est installée à Hodeige.
Projet d’une nouvelle rue (Remicourt)
En 1930, un projet de création d’une nouvelle liaison entre la ferme GRUTMAN et la maison VRANCKEN, en passant par le « Vivi » (vivier ?), est mis à l’étude à Remicourt.