En 1965, MARNEFFE Joseph, bourgmestre de Grand-Axhe, est fermier. Il habite au n° 10 de la rue Albert 1er à Grand-Axhe. Il est membre de la section de Hollogne-sur-Geer de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
En 1965, LECLERCQ Maurice est fermier. Il habite au n° 2 de la rue de Waremme à Boëlhe. Il est membre de la section de Hollogne-sur-Geer de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
En 1965, JACQUEMIN Paul est fermier. Il habite au n° 1 de la rue du Manil à Hollogne-sur-Geer. Il est secrétaire de la section de Hollogne-sur-Geer de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
En 1965, DODION Georges est fermier. Il habite au n° 5 de la rue d’Omal à Hollogne-sur-Geer. Il est président de la section de Hollogne-sur-Geer de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G).
En 1965, DUBOIS François est fermier. Il habite à Celles. Il est membre de la section de Celles de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).
En 1965, DE MARNEFFE Louis est fermier. Il habite au n° 5 de la rue Albert 1er à Borlez. Il est membre de la section de Borlez de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).
En 1965, DE MARNEFFE Jacques est fermier. Il habite au n° 1 de la rue Joseph Wauters à Borlez. Il est commissaire de la section de Borlez de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).
En 1965, CLAES Albert est fermier. Il habite à Pays-Sprimont (?). Il est membre de la section de Borlez de la Fédération Nationale des Anciens Prisonniers de Guerre (F.N.A.P.G.).
En 1903, HALLEUX François exploite une ferme, près de l’église de Hodeige, à l’emplacement de l’ancien château de la famille DE DONCHERFF (DE DONCEEL ?).
En 1694, les troupes françaises campent à Hodeige. Des soldats logent dans l’église et y commettent toutes sortes d’excès: ils brisent les armoires de la sacristie, ainsi que la grande porte de l’église. Les fermiers du village, surtout les locataires, sont les plus à plaindre. Ils sont partiellement ou totalement ruinés par le séjour des troupes.