En 1900, les fermiers et agriculteurs de Verlaine sont :
- la veuve BADET
- FRANCK A.
- JAMOULLE (frère et soeur)
- MONTULET I.
- NIZET M.
- PIRE J.
- ROBERTI J.
En 1900, les fermiers et agriculteurs de Verlaine sont :
En février 1977, PIER (?) exploite une ferme installée au centre d’Oleye (Waremme), sur la Nationale 48. Il met son matériel en commun avec 3 autres fermiers d’Oleye. Il possède 2 tracteurs. Il cultive:
Il n’occupe plus de personnel.
En 1861, BEAUDUIN Jean-Joseph reprend la ferme que son père (également prénommé Jean-Joseph) a fait construire à Rosoux. Il se tient au courant des derniers progrès dans le domaine de la culture et adopte bientôt le sel de potasse français comme fertilisant. Frappés par les résultats obtenus, les autres fermiers du village lui demanderont de les aider à se procurer cet engrais.
En 1962, il y a 79 fermiers (39 hommes et 40 femmes) qui se répartissent en 30 exploitations à Jeneffe, sur une superficie totale de 676 hectares:
Vers 1780, le clergé possède 258 hectares de terres à Jeneffe (sur une superficie totale de 677 hectares). Il loue ces terres à des paysans, des fermiers, notamment à:
En 1756, un édit n’accorde le droit de vote aux Plaids Généraux qu’aux propriétaires ou, à défaut, à leurs fermiers, en proportion des terrains qu’ils possèdent.
Sous l’Ancien Régime, les fermes du canton de Waremme sont souvent tenues par des fermiers qui les reçoivent en bail d’abbayes, de chapitres ou de nobles. Elles sont quelquefois exploitées en faire-valoir direct par des paysans.
En 1395, lorsque les blés sont fauchés et liés en gerbes à Geer, les fermiers doivent en informer l’abbé de Flône, qui charge sont représentant (le décimateur) de compter les gerbes et de prélever la « tierce gerbe ». Les cultivateurs doivent ensuite charrier les gerbes de la dîme, en la grange du seigneur, dans le village.
En mai 1988, la Maison Communale de Geer occupe l’ancienne « Cense de la Dîme » de Seigneurs de Flône. (Les fermiers de l’endroit y amenaient des gerbes de céréales -« tierces gerbes » et « gerbes de la dîme » – , pour s’acquitter de leurs fermages)
Vers 1050, l’abbaye de Saint-Trond possède un moulin banal à Oreye. Les fermiers du village doivent lui payer une redevance pour y faire moudre leurs grains.