En 1661, le feu est volontairement bouté, de nuit, au presbytère de Momalle. La grange qui le jouxte est totalement détruite. La perception de la dîme en est peut-être le mobile.
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Bibliothèque en feu (Louvain)
En 1914, la bibliothèque de l’Université Catholique de Louvain est la proie des flammes.
Incendie à Borlez
Le 2 février 2012, à Borlez, la maison de KINGEN Alain est détruite par le feu.
On grelotte en Hesbaye
Durant l’hiver 1941 – 1942, la ration de charbon, attribuée quotidiennement à chaque ménage hesbignon, est de 3 kilos. On allume donc le feu le plus tard possible et on se couche très tôt pour économiser le combustible.
Incendie à la Frit’ Rie (Waremme)
Le 29 mars 2015, un feu se déclare dans un bac à graisse de « La Frit’ Rie », installée rue Gustave Renier, à Waremme. Les pompiers maîtrisent l’incendie, mais les dégâts sont importants.
De nouvelles poubelles (Waremme)
En février 2016, l’échevine VAN KEERBERGHEN Aurélie annonce une uniformisation du mobilier urbain de Waremme, avec l’achat de 32 poubelles publiques en acier galvanisé, de couleur gris anthracite, résistant au vandalisme, au feu, aux coups et aux griffes. Le coût total s’élève à 9.989, 76 euros, subsidié à 50% par la Région Wallonne.
François Mathy, sinistré (Grand-Axhe)
En 1852 (?), la maison de l’agriculteur MATHY Jean-François est détruite par le feu à Grand-Axhe.
Incendie à Waremme
Le 10 octobre 1853, à 7 heures du matin, le grange de MATHY Jean-François s’enflamme à Waremme. Rapidement sur les lieux, la pompe du Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond permet de sauver sa maison en chaume, toute proche. La pompe de la commune arrive peu après. Une chaine se met en place. A l’aide des deux pompes, le feu est maîtrisé vers midi
On peut retirer de la grange, à peu près la moitié de la récolte qui y était stockée, mais elle est très enfumée, roussie et humide.
Incendie à Waremme
Le 10 septembre 1829, le feu se déclare à Waremme. Il brûle 5 maisons en face de la ferme WILMOTTE et de Madame RASQUIN.
Daniel François et Alain Michelet, coupables (Waremme – Liège)
Le 26 mars 2015, la Cour d’Appel de Liège (1) confirme la peine que le Tribunal Correctionnel a prononcée à l’encontre de l’ancien chef de la zone de police de Waremme, FRANCOIS Daniel, et de son adjoint, MICHELET Alain, pour harcèlement et traitement inhumain et dégradant, mais (2) en sus, déclare que ces attitudes coupables sont à l’origine de la mort de KOCH Sandra et de sa fille, et des graves blessures de son fils.
RAPPEL DES FAITS
Le 11 novembre 2011, la policière de Waremme KOCH Sandra, récemment mutée à Crisnée, se rend dans les bois de Stoumont en voiture, avec ses enfants Emilie (17 mois) et Bastien (4 ans). Elle prépare un petit « bûcher », s’asperge, ainsi que ses enfants, d’alcool et y met le feu. Ils sont gravement brûlés, mais ne décèdent pas. Elle s’empare alors d’un couteau, tue sa fille et inflige de profondes blessures à son fils (qui conservera toute sa vie d’importantes séquelles). Elle appelle alors les secours. Elle explique avoir été la victime de harcèlement de la part de ses supérieurs hiérarchiques. On la retrouvera pendue dans sa cellule le 6 décembre 2012.
Comme en première instance, FRANCOIS Daniel est condamné à 12 mois de prison avec sursis, et MICHELET Alain à 10 mois également avec sursis, pour harcèlement au travail et traitement inhumain et dégradant.
Mais de plus, la Cour déclare que c’est ce harcèlement moral, ce traitement inhumain et dégradant, qui ont involontairement poussé KOCH Sandra à blesser gravement son fils, à tuer sa fille et à se suicider. Pour les juges d’Appel, c’est bien le comportement malveillant des deux commissaires qui est à l’origine du drame. Les juges précisent que les deux policiers ont créé un climat hostile qui a plongé leur subalterne dans un état psychologique fragile. Les magistrats considèrent que ces deux supérieurs hiérarchiques auraient du prévoir que cet état psychologique pouvait entraîner des conséquences tragiques.
Si la peine de prison avec sursis est maintenue, l’élargissement de la responsabilité des deux hommes amène la Cour à les condamner, en sus, à payer des dommages et intérêts provisionnels de 75.000 euros à la famille. Cette somme servira, notamment, à payer les frais très lourds du traitement du fils de KOCH Sandra.
Une telle condamnation devrait avoir d’importantes conséquences sur la carrière de FRANCOIS Daniel et MICHELET Alain à la police.
Les avocats des deux condamnés annoncent leur intention de se pourvoir en Cassation de l’arrêt de la Cour d’Appel. Pour rappel, la Cour de Cassation ne se prononcera pas sur le fond de l’affaire, en l’occurrence la culpabilité des deux hommes, mais sur la forme de l’arrêt de la Cour d’Appel et le respect des règles de procédure et de droit.