En (?), le curé de Waremme, l’abbé DESHAYES Gérard-Joseph, prête serment de fidélité à la République et de haine à la Royauté.
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Des Récollets font serment d’allégeance (Waremme – France)
En (?), deux Pères Récollets de Waremme prêtent serment de fidélité à la République et de haine à la Royauté:
- le Père WERT Robert
- le Père MATHIEU
Henry Dodeur, manant (Thys)
Le 4 novembre 1596, le nouveau manant de Thys, DODEUR Henry, dit « Le Jeune », prête serment d’être fidèle au Seigneur du lieu et de vivre selon l’antique foi catholique, apostolique et romaine.
Le curé refuse de prêter serment (Geer)
Vers 1790, à la Révolution française, le curé de Geer, l’abbé DE FAVEREAU Charles-Antoine, refuse de prêter le serment de haine à la Royauté et de fidélité à la République. Il sera condamné à la déportation.
Le curé prête serment (Celles – France)
Vers 1797, le curé de Celles prête le serment de haine à la Royauté et de fidélité à la République française.
Prestation de serment des bourgmestres (Belgique – Pays-Bas)
A partir de 1818, avant d’entrer en fonction, les bourgmestres et conseillers communaux belges doivent prêter le serment suivant:
« Nous jurons obéissance et fidélité à sa Majesté, le Roi des Pays-Bas, et à la Loi Fondamentale ».
Le journée du client (Waremme)
Le 24 septembre 2016, la « Journée du Client » est organisée par l’Union des Commerçants de Waremme. 60 commerçants participent à cette manifestation, destinée à faire découvrir leur savoir-faire à la clientèle et à récompenser sa fidélité.
Remise prix aux sportifs waremmiens
Le 22 octobre 1983, les édiles de Waremme rendent hommage aux sportifs locaux les plus méritants, en la salle du Conseil Communal.
- FORTHOMME Roland, du club de billard « Le Perron », reçoit le « Trophée Sportif »
- STRAUVEN Joseph, de la section « Cyclo » de l’Union Waremmienne, reçoit le « Trophée du Fair-Play Sportif »
- DISTEXHE Fernand, de club « Les Amis du Tumulus », reçoit le « Trophée du Mérite Sportif »
- DAENEN Jean-Paul, de la section « Tennis de Table » de l’Union Waremmienne, reçoit le « Prix de Radio Betterave »
- JADOUL Emile, PIRON José et WAUTERS José, de la section « Tennis de Table » de l’Union Waremmienne, reçoivent le « Prix de Radio-sans-Frontière »
- PAQUOT Joseph, du club de marche « Les Amis du Tumulus », reçoit le « Prix de Radio Hesbaye »
- L’Ecole de Natation Waremmienne, reçoit le prix du PSC
- La section « Volley-Ball de l’Union Waremmienne reçoit le Prix du PRL
- HELLA Jules, reçoit le « Prix André Gouters » de la fidélité
Le Premier Concordat (France – Vatican)
Le 15 juillet 1801, le Premier Concordat est signé entre le Premier Consul BONAPARTE et le Pape PIE VII, il règle les rapports entre l’Eglise et l’Etat.
Il vient mettre un terme à toutes les tracasseries des autorités républicaines et le culte peut, à nouveau, s’exercer librement. Cependant, le clergé est placé sous la surveillance du pouvoir civil : les Evêques sont nommés par l’Empereur ; les curés sont nommés par l’Evêque parmi les personnes agréées par le gouvernement. Ils doivent prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement. Chaque commune est autorisée à reprendre les cloches qui avaient été retirées des églises en 1797. Celles du canton de Waremme avaient été stockées dans l’ancien couvent des Récollets, notamment, parmi les plus anciennes, une cloche de 1353 de l’église paroissiale Saint-Pierre, une de 1314 du village de Marlinne, une autre de 1371 du village de Bleret.
La nouvelle organisation de l’Eglise est copiée sur celle de l’administration civile:
- Chaque diocèse doit correspondre à un département.
- Chaque doyenné doit correspondre à un canton.
- Chaque paroisse doit correspondre à une commune.
C’est ainsi qu’une ou deux paroisses sur trois est supprimée et est rattachée comme « chapellenie » à une paroisse voisine.
Certaines dénominations changent:
- Le doyenné devient cure.
- Le doyen devient curé.
- La paroisse devient succursale.
- Le curé devient desservant.
Le Concordat va ramener la paix religieuse dans la région de Waremme et apaiser les consciences. Toutefois, les biens de l’Eglise, qui ont été confisqués et vendus, ne lui sont pas restitués.
(Un certain nombre d’acquéreurs de ces biens sont des citadins de Liège)