Le 10 mai 2014, le bassin-tampon du Fond d’Or est inauguré à Waremme. C’est un projet de grande envergure qui se clôture. Il permettra d’améliorer le fonctionnement hydraulique du réseau d’égouttage dans le centre de la ville. Il servira aussi de protection contre les inondations pour les riverains des rues du Fond d’Or, des Blés, de la Porte de Liège, Saint-Eloi, des Wérixhas et du Clos de Hesbaye.
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Pas d’autobus supplémentaires à Crisnée
Le 16 octobre 1926, puisque le service d’autobus organisé par Messieus GHYS et DEBIOLLE fonctionne à la satisfaction générale et que la commune est déjà desservie par le tram vicinal Ans-Oreye, le conseil communal de Crisnée émet un avis défavorable à la demande de la SNCV d’établir son propre réseau d’autobus.
Les caméras de surveillance ne fonctionnent pas (Waremme)
Le 29 avril 2019, en réunion du Conseil Communal de waremme, interpellé par le conseiller communal HENRION Lionel, le bourgmestre CHABOT Jacques reconnaît que le système de caméras de surveillance du centre-ville ne fonctionne plus depuis 2 ans. Le système de visualisation des images, par fibres optiques, installé au commissariat de police, est défectueux. Pourtant la ville continue à payer une redevance annuelle de 18.000 euros par an pour ce système.
La réparation des voiries coûte cher (Waremme)
Le 7 mars 1867, le Conseil Communal de Waremme constate, qu’en 1866, la voirie empierrée de la commune et les chemins de grande communication qui traversent son territoire, ont été fortement dégradés par:
- le charroi des transports de briques nécessaires à la construction de la sucrerie « MOMMENS »;
- par le transport des betteraves vers les sucreries de Waremme et des environs;
- par le transport du charbon nécessaire au fonctionnement de ces entreprises .
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins empierrés et pavés de la commune pour un montant de 427,45 francs en 1865 et de 448, 63 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de Waremme, le Conseil Communal décide de les taxer comme suit:
- Sucrerie LAURENTY: 427, 45 francs pour 1865 et 348,63 francs pour 1866
- Sucrerie MOMMENS: 100 francs pour 1866
Ces impositions prennent en considération les droits de péage payés par ces entreprises.
La commune a supporté une augmentation des frais d’entretien des chemins de grande communication traversant son territoire, pour un montant de 1.220,80 francs en 1865 et de 1.464,96 francs en 1866. Cette augmentation étant causée par l’augmentation du charroi vers les sucreries de la région, le Conseil Communal de Waremme décide de les taxer comme suit:
- Sucrerie de Les Waleffes: 404 francs pour 1865 et 485 francs pour 1866
- Sucrerie de Hollogne-sur-Geer: 816 francs pour 1865 et 980 francs pour 1866
Evolution du Grand-Axhe Waremmien
Le 5 décembre 2005, l’ASBL « Le Grand-Axhe Waremmien » adopte de nouveaux statuts, indispensables à son bon fonctionnement.
Des instructions pour la reprise de Waremme
Le 6 septembre 1944, REYNTENS Louis ordonne à NELIS Gaston, dit « Joseph », de prendre le contrôle de Waremme, avec un groupe de dix hommes et quatre gendarmes.
- Il devra contrôler les points stratégiques: le carrefour du Centre, la centrale téléphonique, la gare, l’Hôtel de Ville, la gendarmerie.
- Il devra veiller à rétablir les administrations telles qu’elles fonctionnaient le 10 mai 1940.
- Il devra contenir tout désordre, spécialement les violences envers les collaborateurs (pour éviter le renouvellement de « l’Affaire Doyen »). Dans la mesure du possible, ceux-ci seront incarcérés à l’Hôtel de Ville, pour les mettre à l’abri des exactions.
- Il devra prendre les dispositions nécessaires pour éviter le pillage des magasins et des habitations appartenant à ces collaborateurs.
LEBURTON Edmond désigne les hommes mis à la disposition de NELIS Gaston:
- BOURS Jean
- GODBILLE Maurice
- HERCKENS Jules
- LEJEUNE René
- MISSOTTEN Hubert
- MOUREAU Edmond
- PAPY Justin
- SAUWENS André
- THOMAS Jean-Baptiste
Avant l’opération, le groupe va se cacher dans la ferme de DOUCET Jules.
Projet d’un Atelier Protégé à Waremme
Le 13 février 1970, le Lion’s Club charge un de ses commissions d’étudier les modalités d’installation et de fonctionnement d’un atelier protégé à Waremme.
La Centrale Electrique de Waremme
En 1911, la Centrale Electrique de Waremme est construite, rue Sous-le-Château, non loin de la fontaine qui alimente le Rèwe (cette fontaine sera plus tard recouverte par la caserne des pompiers), à côté du presbytère, pour fournir le courant à la ville. Les réverbères commencent à disparaître. Elle fonctionnera jusqu’en 1935.