Le 29 mars 1702, le maire de Lens-Saint-Servais, DE FALLAIS Jean, organise un tirage au sort parmi les jeunes gens du village, car il doit fournir un contingent de 4 (ou 5 ?) hommes aux armées du Roi de France LOUIS XIV.
MOTTIN Jean est assesseur aux opérations de tirage au sort.
En octobre 1921, le plombier-zingueur LOYAERTS-PANSAERS François est installé au n° 44 de la rue de la Centrale à Waremme.
Il fournit également:
Le 27 juin 1888, la commune de Remicourt déclare le fermier HALLEUX adjudicataire pour la fourniture de 400 m3 de pierres, pour une somme de 9.756 francs, destinées à l’empierrement et l’aménagement du Chemin de Momalle (qui deviendra plus tard la rue de Liège). PETITJEAN Joseph est désigné pour effectuer le terrassement.
Le 6 juin 1944, THIRIARD Jules, de Huy, apporte 450 salopettes de jute et les badges alliés, comme uniformes pour les Résistants de la région de Waremme. Elles sont cachées dans un caveau du nouveau cimetière de Celles.
En 1954, CHAUDIERE Paul exploite une boulangerie-pâtisserie installée au n° 27 de la rue Joseph Wauters, à Waremme. Elle fournit également des glaces.
Elle est dépositaire de « La Levure Royale ».
En 1954, la pharmacie de BLAIRVACQ Jean est installée au n° 24 de la rue Joseph Wauters, à Waremme.
Il fournit également des lunettes au prix fixé par les Mutualités.
En 1954, SCHLUSMANS Joseph et son épouse exploitent un commerce de bandagisterie – lunetterie, à Waremme. Ils fournissent des ceintures médicales, des appareils orthopédiques, des lunettes (verres et montures). Ils sont agréés par toutes les Mutuelles.
En 1954, la S.A. « Comptoir Commercial » est installée au n° 2 de la place Ernest Rongvaux, à Waremme (en face de la gare).
Elle fournit, articles et appareils d’ordre médical et sanitaire, aux Mutualités et Assistances Publiques:
Le 1er avril 1941, Messieurs COLLIN et LANDRAIN G. reprennent les bâtiments de l’entreprise « CHARLIER Charles », à Momalle. Ils exploitent la « Société Agricole de Momalle » et sont spécialisés dans la fourniture générale pour l’agriculture.
Le 23 juin 1946, les gouvernements belge et italien signent le « Traité belgo-italien sur le charbon » (minatori/carbone), à Rome.
Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, l’Europe se relève péniblement des conséquences du conflit. Il faut faire face aux nombreux défis liés à l’économie. En Belgique, la main d’oeuvre manque. C’est pour répondre à ce besoin que ce traité est conclu.
Afin de gagner la « bataille du charbon », l’accord prévoit l’envoi de 50.000 travailleurs italiens dans les mines belges, contre la fourniture à l’Italie de plusieurs millions de tonnes de charbon annuelles.
La très grande majorité de ces travailleurs provient des régions déshéritées de la péninsule (Abruzzes, Pouilles, Sicile, Vénétie, …). Les conditions d’accueil (comme le logement) sont rudes pour ces immigrants. Les conditions de travail sont pénibles et conduiront à des drames.