Le 14 avril 1561, pour payer les frais de réparation et de transformation de l’église Saint-Pierre, la communauté de Thys met en location, pour un bail de 3 ans, les Werixhas, dits « Abenge », au Seigneur du village. De plus, chaque sujet payera 2 florins liégeois..
En 1811, le Bureau de Bienfaisance de Hollogne-sur-Geer prend en charge une quarantaine de pauvres. Il leur verse environ 10 francs, 30 litres de seigle et 7,5 litres de froment, par an (soit un total de 424 francs et 1300 litres de seigle). Il prend également en charge les frais de visite du médecin, le docteur BOUX de Waremme..
Le 3 mai 1837, le Conseil Communal de Hollogne-sur-Geer donne un avis favorable à la commune de Boëlhe qui désire organiser 2 foires chaque année, le 2 mai et le 21 juillet. Le Conseil considère que ce projet ne qu’être avantageux pour les habitants du village, puisqu’il procure un moyen de vendre le bétail sans entraîner de frais de déplacements.
En 1859, le premier règlement de l’école communale de Celles est rédigé. Il précise que le montant des frais à charge des parents (rétributions scolaires)est fixé à 1,25 francs par mois et par élève. Cependant, les enfants de familles pauvres sont admis gratuitement.
Le 8 octobre 1917, le conseil communal de Remicourt décide d’intervenir dans les frais de la soupe populaire, pour un montant de 2.880 francs.
Le 3 juillet 1879, le conseil communal de Remicourt accepte la réclamation des habitants du village, qui demandent qu’un pont soit construit sur l’Yerne, face à la maison de SAUVAGE Félix. Cependant, le conseil précise que le pont sera réalisé à leurs frais.
Le 10 mai 1900, le conseil communal d’Aineffe refuse d’intervenir dans les frais de construction de la nouvelle église de Borlez.
Le 13 août 1896, le conseil communal d’Aineffe refuse d’intervenir dans les frais de construction de la nouvelle église de Borlez.
Le 22 mai 1886, le conseil communal d’Aineffe refuse d’intervenir dans les frais de construction de la nouvelle église de Borlez.
Le 12 mai 1867, le Conseil Communal de Hollogne-sur-Geer constate que d’importants dégâts ont été causés au chemin de grande communication « Waremme – Lens-Saint-Remy », dans la traversée de son territoire. Il négocie avec la sucrerie NAVEAU, pour qu’elle prenne en charge une partie des frais de réparation. Elle accepte de payer 1.360 francs pour l’achat de pierres destinées à cet usage.