Le 12 mai 1940, les deux cliniques de Waremme, ainsi que l’antenne médicale, sont submergées de blessés civils et militaires. Les soldats français, belges et allemands sont alors unis dans la même souffrance. Les Français et les Belges sont installés dans les locaux du Collège Saint-Louis, sous la surveillance de sentinelles allemandes. Les victimes allemandes sont emmenées dans les locaux de l’Ecole Moyenne de Waremme.
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Albert Lergon, professeur (Waremme)
En 1936, LERGON Albert est un des premiers agrégés de l’enseignement secondaire supérieur, désigné comme professeur à la Section d’Athénée qui vient d’être créée à l’Ecole Moyenne de l’Etat à Waremme. Il y enseigne le français dans les classes supérieures.
Les billets de banque belges deviennent bilingues
Le 4 avril 1886, les billets de banque belges seront désormais imprimés en français et en néerlandais.
Jules Dumoulin professeur (Waremme)
En 1879, DUMOULIN Jules, dit « Li Spè », est nommé professeur à l’Ecole Moyenne de l’Etat à Waremme (qui deviendra l’Athénée Royal). Il occupera cette fonction jusqu’en 1905. Il enseigne le français et la sténographie.
L’usage du flamand est supprimé devant la Cour de Justice de Corswarem
Les Anglais prennent Québec (Grande-Bretagne – France)
Le 18 septembre 1759, les Anglais donnent l’assaut aux troupes françaises regroupées près de Québec et s’emparent de la ville.
La bataille de Neerwinden, victimes
Le 29 juillet 1693, la bataille de Neerwinden fait de nombreuses victimes : huit mille chez les Français et douze mille chez les Alliés. Les rues du village de Neerwinden sont « comblées plutôt que jonchées » d’une quantité prodigieuse de corps, dira le duc de Saint-Simon qui assiste à la bataille.
Organisation de l’école à Waremme en 1635
En janvier 1635, le conseil de la ville de Waremme précise les règles d’organisation de l’école :
– Enseignement gratuit à tous les pauvres.
– Cours tous les jours de 8h à 11h et de 13h à 16h30.
– Le matin des jours de fête, le catéchisme est donné en français et en latin.
– Le mardi et le jeudi après-midi : congé.
L’enseignement est confié à un prêtre pédagogue, dont le salaire est tiré moitié de la mense des pauvres, moitié des revenus de l’Eglise. A ce titre, il est précisé qu’il « devra enseigner tous les pauvres qui se retrouveront à son école gratis … » Les cours se donnent de 8h à 11h et de 13h à 16h, avec congé les mardis et jeudis après-midi. « Item, les jours de fête et dimanches, devra enseigner du matin quelconque espace de temps à ses étudiants la catéchisme, aux plus expects celle en latin, et aux autres celle en français » et « chaque semaine, une leçon de chant grégorien. L’enseignant devra aussi recharger les élèves de retour chez eux, de ne pas vaquer à jeux mais d’étudier, et pour y facilement pourvoir, pourra commettre l’un des dits étudiants pour remarquer et accuser tous ceux qui, étant retournés de leur école, ne vaqueront à leurs études; comme aussi députer un pour accuser toutes pétulances, … qui se pourraient commettre par lesdits étudiants. »