En 1921, deux ponts en béton armé sont construits à Remicourt pour franchir l’Yerne, l’un en face du café « MATHIAS » et l’autre en face de chez LEMME Emile.
Les itinéraires des riverains en sont considérablement raccourcis.
En 1921, deux ponts en béton armé sont construits à Remicourt pour franchir l’Yerne, l’un en face du café « MATHIAS » et l’autre en face de chez LEMME Emile.
Les itinéraires des riverains en sont considérablement raccourcis.
Le 5 septembre 1944, à Hollogne-sur-Geer, une patrouille de Résistants du « Groupe Otarie » arrive à temps pour empêcher un peloton cycliste allemand de faire sauter les ponts sur le Geer, car l’avant-garde américaine doit franchir le cours d’eau à cet endroit. Après quelques échanges de tirs, les Allemands se replient sans avoir eu le temps d’exécuter leur mission.
Fin de l’année 1813, les jours de l’Empire sont comptés. La bataille de Leipzig, qui a laissé 100.000 Français sur le terrain, sonne le glas des derniers espoirs napoléoniens. En décembre, les Alliés franchissent le Rhin. VON BÜLOW Friedrich-Wilhelm conduit un corps prussiens sur la Hollande. L’armée russe avance vers la Meuse. Les cosaques se répandent dans le pays. Le Belgique vit désormais à l’heure prussienne.
Le 16 avril 1839, le Conseil Communal de Remicourt demande, à la Province de Liège, un subside qui servira à clore le cimetière, dont les murs ont « croulé » par vétusté depuis de longues années, et à recrépir les murailles de la tour de l’église.
Il est à noter, qu’en ce moment, le cimetière n’est séparé des prairies que par un simple fossé, constamment franchi par le bétail.
En 1838, lors des travaux d’aménagement de la ligne de chemin de fer (appelée ligne de l’Est) à Waremme, d’importants travaux de terrassement sont entrepris pour construire un long remblai qui permettra à la voie de franchir la large vallée du Geer. Ces travaux mettent au jour les vestiges anciens d’une villa romaine, près de la Haute-Wegge. Ils seront fouillés par DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond
(Elle sera fouillée à nouveau en 1974. Elle est située au-delà l’actuel stade communal, à droite, en bordure de la rue des Prés.)
En novembre 1812, pendant la retraite de Russie, l’armée française tente de franchir la Bérézina. Elle doit son salut au dévouement des pontonniers du général EBLE Jean-Baptiste. Malgré la construction de deux ponts, la moitié des soldats français perdent la vie.