En 1856, RENIER François est serrurier. Il est propriétaire à Waremme:
En 1763, RENIER François est manouvrier à journée à Waremme. Son épouse est BODENNE Agnès, travaillante à journée.
En 1902, RENIER François Marius (?) est négociant à Waremme.
En 1901 et 1904, RENIER François est charcutier à Waremme.
Le 8 septembre 1932, DELENS Laure, veuve de RENIER François, exploite une confiserie au centre de Waremme.
Le 25 novembre 1915, les boulangeries, pâtisseries et restaurants qui fabriquent des pâtisseries à Waremme:
Le 5 août 1781, la Cour de Justice de Waremme est composée de :
La Cour rend un avis dans lequel elle rappelle que les étrangers, manants et habitants non bourgeois ne peuvent bénéficier des droits et privilèges accordés aux bourgeois nés à Waremme ou admis comme tels par l’acquisition de prérogatives et privilèges liés aux commerces, métiers, chambres, droit de chasse, droit de pêche.
Elle décrète que toute personne s’arrogeant indûment ces droits et privilèges se verra infliger une amende de 3 florins d’or.
Elle constate que des personnes des villages circonvoisins chassent et usent de certains privilèges. Elle ordonne à l’officier de police de s’en saisir. Chaque bourgeois trouvant de semblables contrevenants doit en faire rapport, avec deux témoins, sous serment solennel.
En 1841, l’agent RENIER François est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche.
En décembre 1837, un incendie se déclare à Waremme, chez le commissaire d’arrondissement DE CHESTRET DE HANEFFE Hyacinthe. Dix-sept habitants aident les pompiers RENIER François et HEYCOOP Guillaume à éteindre le sinistre.
En 1816, THIRION Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche. Pour la première fois le tir s’est déroulé au Fond d’Or, sur une pièce de terre du confrère RENIER François.