Annonce de la fermeture de l’école maternelle du Tumulus (Waremme)

Le 4 avril 2025, l’échevin de l’enseignement de Waremme, COLLARD Alice, annonce que l’école maternelle du Tumulus fermera définitivement ses portes le 5 juillet prochain, en raison du nombre insuffisant d’enfants qui la fréquentent.

Lieu commémoratif pour Didier Bada (Lamine – Remicourt)

Le 7 (?) novembre 2024, la commune de Remicourt inaugure un espace à la mémoire de BADA Didier, tué par BROEDERS Julien alors qu’il voulait porter assistance à DETHIER Georgette agressée par ce dernier, dans le parc situé rue de Hodeige à Lamine (Remicourt). Un chêne y a été planté, une stèle gravée, avec sa photo, reposant sur une armature métallique, y a été élevée. Un banc a été installé, pour pouvoir s’y recueillir.

Au moment des faits, BADA Didier venait d’être pensionné. Il a travaillé pendant 30 ans à l’A.I.D.E. Le parc a été aménagé à l’emplacement de l’ancienne école primaire, qu’il a fréquentée dans son enfance.

Fréquentation des Variétés (Waremme)

En 2024, il y a eu 39.420 spectateurs au cinéma « Les Variétés » de Waremme. 

L’école de Jeneffe

Le 12 février 1940, l’institutrice en chef de l’école des filles de Jeneffe, BERTRAND Jeanne, malade, ne sera pas remplacée. Il est décidé de regrouper les classes:

  • Ecole des garçons, par BORSU Lambert
  • Ecole des filles, par CHARLIER-BERTRAND Louise

L’école de Jeneffe est fréquentée par 65 élèves.

Vaccinateur pour les indigents (Jeneffe)

Le 21 mars 1904, le collège communal de Jeneffe nomme un médecin pour la vaccination des enfants indigents fréquentant l’école du village.

Naissance de Françoise Missotten (Gossoncourt – Waremme)

Le 10 août 1907, MISSOTTEN Françoise voit le jour à Gossoncourt. Elle fréquentera le pensionnat des Filles de la Croix, à Waremme.

Les habitants de Hodeige veulent leur propre curé

En 1259, les habitants de Hodeige, ayant doté convenablement leur église, désirent vivement avoir au milieu d’eux un prêtre stationnaire qui leur consacrerait uniquement son ministère. A cet effet, ils adressent une requête à D’OTTIGNIES Robert, doyen de Saint-Paul à Liège, et à tout le Chapitre dont dépend la paroisse de Lamine.

Les fidèles de Hodeige appuient leur demande de raisons bien plausibles:

  • D’abord, le village de Hodeige est à une telle distance de l’église de Lamine qu’ils ne peuvent la fréquenter qu’avec beaucoup de difficultés, surtout en hiver. La plupart du temps, ils arrivent trop tard aux offices.
  • De là aussi d’autres inconvénients très graves; quelques fidèles sont morts, privés des sacrements, à cause du défaut d’un prêtre à Hodeige.
  • Le prêtre qui, pour le temps, dessert l’église de Lamine, est tenu de célébrer la messe à Hodeige trois fois par semaine, outre les dimanches et les jours de fête. Bien plus, pendant le Carême et l’Avent, il doit s’acquitter tous les jours, ce qui ne peut se faire sans grande difficulté. Maintes fois, le curé de cet office de Lamine s’exempte de la célébration de ces messes, à laquelle il est cependant obligé.
  • Les fidèles de Hodeige ont doté leur église avec leurs propres ressources. A cet effet, ils ont fourni neuf bonniers de terre arable et quatre muids d’épeautre mesure de Liège, de revenu annuel pour l’usage du prêtre qui desservirait cette église.

Le chapitre accueille favorablement la demande des habitants de Hodeige, mais ne voulant pas léser les droits acquis du curé de Lamine, comme c’est l’usage, il prescrit au curé et aux fidèles de Hodeige certaines obligations et certaines redevances envers l’église-mère et le curé de Lamine:

  • Pour l’administration du baptême, de l’extrême-onction, les processions des rogations, ainsi que pour le synode de l’archidiacre et du doyen rural, la paroisse de Hodeige restera soumise à celle de Lamine. En signe de cette soumission, le curé de Hodeige paiera au curé de Lamine quatre deniers de Liège à la Noël, à Pâques et à la Pentecôte. Au jour de la dédicace de l’église-mère et à la solennité du Patron, ainsi qu’aux processions des rogations et au synode, le curé de Hodeige se rendra à l’église-mère avec ses paroissiens.
  • Dans le cas où l’église-mère manquerait de ressources pour sa reconstruction ou autre nécessité, les paroissiens de Hodeige seront tenus de fournir leur contribution comme les paroissiens de Lamine.
  • En compensation des offrandes que le curé de Lamine recevait de l’église de Hodeige, le curé de cette dernière (qui dorénavant percevra ces oblations) sera tenu de payer chaque année après la Noël, au curé de Lamine, une rente de 11 muids d’épeautre, et au marguillier 4 muids, et cela à perpétuité.
  • Les oblations provenant d’anciens anniversaires fondés par les fidèles de Hodeige resteront au curé de Lamine, mais celles qui proviendront des anniversaires fondés à l’avenir appartiendront uniquement au curé de Hodeige.

Le Chapitre de Saint-Paul décrète, en outre, que l’église de Hodeige ne restera soumise à celle de Lamine qu’en ce qui est convenu ci-dessus et qu’elle sera à la collation du Chapitre Saint-Paul. 

Mélanie Malchair (Remicourt – Waremme)

En 1962, MALCHAIR Mélanie habite à Remicourt. Deux de ses enfants fréquentent l’Athénée Royal de Waremme.

Une maîtresse de couture à Remicourt

Le 30 septembre 1955, une maîtresse de couture est désignée temporairement à l’Ecole des Filles de Remicourt. Cette école est fréquentée par 56 élèves.

Maintien des cours du soir pour adultes (Remicourt)

Le 22 mai 1934, suite à une circulaire du Commissaire d’Arrondissement, le Conseil Communal de Remicourt décide de maintenir l’école du soir pour adultes, qui est bien fréquentée.