Enterrement de Barbe Jacques (Longchamps)

Le 18 décembre 1880, Mademoiselle JACQUES Barbe, sœur du docteur, est inhumée à Longchamps (?).

Alfred-Dieudonné Ancion, sucrier

En 1873, ANCION-JAMAR Alfred-Dieudonné,laisse son frère continuer seul l’industrie des armes, qu’avaient créée leur père et leur grand-père, pour s’adonner exclusivement à l’agriculture et à la fabrication de sucre.

Portrait d’Alfred-Dieudonné Ancion-Jamar

En août 1886, le journal « Le Patriote Illustré », à tendance catholique, publie le portrait de ANCION-JAMAR Alfred-Dieudonné, récemment élu à la Chambre des Représentants dans l’arrondissement de Waremme.

Il est âgé de 46 ans. Sa figure dépeint bien son caractère, dont le côté dominant est l’énergie et la persévérance. Après avoir conquis, avec la plus grande distinction, le diplôme d’ingénieur des mines et celui des arts et manufactures, il continua avec son frère l’exploitation de la fabrique d’armes que son père et son grand-père avaient fondée. Il devint alors juge au Tribunal de Commerce de Liège, puis fut le président de la collectivité des fabricants d’armes liégeois à l’Exposition de Vienne et enfin fut nommé Chevalier de l’Ordre de Léopold à l’âge de 34 ans. En 1873, il laissa son frère continuer seul l’industrie des armes pour s’adonner exclusivement à l’agriculture et à la fabrication du sucre.

C’est pourtant dans la politique que ANCION-JAMAR a donné des preuves de l’énergie et de la persévérance qui le caractérisent. A son entrée au Conseil Provincial, il prit immédiatement une place importante dans les discussions de cette assemblée et s’y distingua en maintes circonstances. En 1876, il fut l’un des principaux fondateurs de la nouvelle Association Conservatrice deWaremme, et se mit alors à la tête des partisans catholiques de l’arrondissement. Il se présente au scrutin en 1878, 1880 et 1882. En 1878, les Libéraux annulent 9 bulletins portant son nom et parviennent à l’écarter. En 1880, ils raient d’un coup le vote de 32 curés et ANCION-JAMAR échoue à 16 voix seulement.

Les orphelins Heuskin placés à Liège (Hodeige)

En 1713, HEUSKIN Pierre et son frère HEUSKIN Sébastien, qui viennent de perdre leurs parents à Hodeige, sont placés à Liège (probablement à l’école de Saint-Martin ?). Ils habitent la quartier de Saint-Séverin. Ils reviendront régulièrement passer des vacances à Hodeige.

Naissance de Pierre Heuskin (Hodeige)

En 1698, HEUSKIN Pierre voit le jour à Hodeige. Ses parents sont HEUSKIN Sébastien et DE LATOUR Elisabeth, une famille honorable qui, tout en habitant une ferme, mène cependant un train de vie de bon bourgeois aisé. HEUSKIN Pierre est le frère utérin de PRINTHAYE Dieudonné, qui sera curé de Hodeige et doyen du Concile de Hozémont.

Note: Sa mère, DE LATOUR Elisabeth s’est mariée une première fois avec PRINTHAYE Guillaume, duquel elle a eu plusieurs enfants, dont PRINTHAYE Dieudonné et PRINTHAYE François, qui deviendra chanoine de l’Ordre de Saint-Croix et prieur de Carignan, en France. Après la mort de son premier mari, DE LATOUR Elisabeth a convolé en secondes noces avec HEUSKIN Sébastien, originaire de Saives, près de Celles.

Vente de terres à Jeneffe

En (?), DE JENEFFE Bauduin, avoué et châtelain de Waremme, fait savoir que l’abbaye du Val-Benoit acquiert 10 bonniers de terre allodiale à Jeneffe, par l’intermédiaire de Mathilde et Elide, religieuses du Val-Benoit (filles de Marguerite, belle-soeur de DE JENEFFE Bauduin).
Les témoins de l’acte sont:

  • D’OREYE Arnoul, frère de DE JENEFFE Bauduin
  • DE LIMONT Robert, frère de DE JENEFFE BAUDUIN
  • le seigneur GONTIER
  • le seigneur DE BERLOZ Fastrard (frères)
  • le seigneur DE FAIMES Libert
  • le seigneur de Waleffe HUARD
  • le seigneur DE HEMRICOURT Robert
  • le seigneur DE ROSOUX Herman

Arnoul de Geneffe, chapelain (Jeneffe)

En 1263, l’abbé DE GENEFFE (?) Arnoul est chapelain de l’église Saint-Jacques à Jeneffe. Il est le frère de DE GENEFFE libert Butor.

Rachat de Jeneffe et de Waremme

En (?), DE JENEFFE Guillaume, frère de DE JENEFFE Liber Butor, rachète à DE JENEFFE Marie la seigneurie de Jeneffe et la châtellenie de Waremme.

Le testament de Lambert Jamar (Hodeige)

Le 24 février 1751, JAMAR Lambert fait son testament devant l’abbé VILLEGIA A., curé de Hodeige, en faveur de sa femme, PIETTE Dieudonnée, et de son frère, JAMAR Pierre.

Homicide à Hodeige

En 1632, un homicide est commis à Hodeige sur la personne de H. François, probablement au cours d’une rixe. Les agresseurs sont au nombre de 7 (5 de Hodeige et 2 de Remicourt). Le plus coupable semble être MOYS (?), frère de l’abbé MOYS Jean, curé de Haneffe.