Les frères Masset (Waremme)

En 1944, les frères MASSET Marcel et MASSET Jules habitent la rue du Pont à Waremme. Ils sont mineurs. Leur soeur est MASSET Clara, qui habite rue Gustave Renier, avec son mari WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu ».

Les frères Massoels (Waremme)

En 1944, les frères MASSOELS habitent rue Gustave Renier à Waremme. Ils travaillent aux Ateliers « Mélotte » à Remicourt.

La scierie « Hambroise » à Waremme

En 1922, la scierie « HAMBROISE », exploitée par les frères HAMBROISE François et HOMBROISE Charles, vient s’installer à la rue de Huy, à la sortie de Waremme, non loin des Etablissements « WERY ».

Création de la scierie « Hambroise

En 1909, les frères HAMBROISE François et HOMBROISE Charles créent une scierie.

Suite à une erreur de transcription à la Maison Communale de Grandville, les deux frères portent des noms différents. Pour respecter le droit d’aînesse, le nom de la scierie sera « Hambroise ».

Les ordres et congrégations religieux sont supprimés (Waremme – Belgique – France)

Le 1er septembre 1796 (15 fructidor de l’An IV), une loi française ordonne la fermeture des maisons ou établissements religieux, couvents, monastères, abbayes et prieurés; supprime tous les ordres et congrégations réguliers des deux sexes, en Belgique, et confisque leurs biens au profit de la République.

Cette loi accorde:

  • aux religieux, un bon de 15.000 francs
  • aux religieuses, un bon de 10.000 francs
  • aux frères laïcs, un bon de 5.000 francs
  • aux soeurs converses, un bon de 3.334 francs

Ces bons ne peuvent être employés qu’en acquisition de biens nationaux.

Les religieux doivent sortir de leur couvent dans les 20 jours après la réception de leur bon et quitter en même temps le costume religieux.

A Waremme:

  • au couvent des Sépulchrines: 12 religieuses et 2 soeurs accepteront le bon;
  • au couvent des Récollets: 11 religieux et 6 frères accepteront le bon.

Le Législateur prévoit une exception à cette suppression pour les maisons religieuses qui ont pour objet l’éducation publique ou le soulagement des malades et qui tiennent réellement des écoles ou des salles de malades.

La direction des domaines nommera des commissaires pour faire l’inventaire des biens et meubles des couvents supprimés et préparer leur vente publique.

 

Note:

Le bon que le gouvernement présente à chaque religieux fera l’objet d’une vive controverse. Il s’agit de savoir s’il est permis de l’accepter. Les uns soutiennent qu’en l’acceptant, on approuve la loi de suppression et on coopère à son exécution; qu’en rachetant les biens de son couvent avec ce bon, on viole son voeu de pauvreté. Les autres répliquent qu’en acceptant le bon, on accepte simplement une partie de ce qui a été injustement enlevé au couvent et qu’en rachetant au moyen de ce bon les biens de son couvent, on ne fait que racheter son propre bien. La plupart des religieux et religieuses du département de l’Ourte croient que l’acceptation du bon est licite.

Un embryon de fédération socialiste (Waremme)

En 1895, HENAULT Valère, HENAULT Lucien (frères), FRAIPONT et le jeune étudiant WAUTERS Joseph, créent un embryon de fédération socialiste dans la région de Waremme, sans local ni argent.

Les Récollets de Waremme

En Pluviôse An V (janvier 1797), il y a toujours 11 religieux et 6 frères au Couvent des Récollets de Waremme.

Naissance de François-Arnold Dethier (Lantremange – Tongres)

En 1728, DETHIER françois-Arnold voit le jour à (?). Son père est le Seigneur de Lantremange, DETHIER François-Arnold-Charles.

Il sera chanoine de la Collégiale de Tongres.

Il succèdera à ses frères comme Seigneur de Lantremange.

Testament de Baudouin 1er de Jeneffe (Waremme)

En 1248, quelque temps après le décès du premier châtelain de Waremme, DE JENEFFE Baudouin, ses exécuteurs testamentaires vendent 45 bonniers de terre situés sur le territoire de Jeneffe (entre Limont, Rolloux, Haneffe et Momalle), aux abbayes d’Aulne et de Soleilmont (Lobbes ?), dans le respect des volontés du défunt de payer ses dettes et de réparer ses torts.

Cette transaction se fait avec l’accord de sa veuve, DE MONTFERRANT Ermentrude, de son fils DE JENEFFE Guillaume et de ses frères, DE LIMONT Robin et D’OREYE DE JENEFFE Arnould.