Les bûcherons et scieurs en long Mahiels (Petit-Axhe)

Avant 1900, les frères MAHIELS Walther et MAHIELS Léopold de Petit-Axhe exercent le métier de bûcherons et de scieurs de long en hiver. L’été, ils travaillent à la moisson.

La première séance du cinématographe (France)

Le 28 décembre 1895, les frères LUMIERE Auguste et LUMIERE Louis organisent la première séance publique de cinématographie, dans les sous-sols du Grand Café à Paris.

louis lumière

louis lumière

auguste lumière

auguste lumière

Création de la société « Michelin » (France)

MICHELIN AndréMICHELIN Edouard

En 1889, MICHELIN André et son frère MICHELIN Edouard fondent la société « Michelin & Cie » qui va se lancer dans la fabrication de pneumatiques.

Fondation de la Sucrerie d’Oreye

Le 15 juin 1889, les quatre frères CARTUYVELS, de Waleffes, fondent la S.A. « Sucrerie et Raffinerie d’Oreye »:

  • CARTUYVELS Alfred
  • CARTUYVELS Hyacinthe
  • CARTUYVELS Oscar
  • CARTUYVELS Zénon

Elle transformera en sucre brut, 300 tonnes de betteraves par jour.

Des frères se disputent une prairie (Waremme)

En 1785, des plaignants adressent des courriers à la Haute Cour de Justice de Waremme, représentée par les bourgmestres et magistrats de Waremme, à propos d’une contestation de propriété sur une prairie, entre deux frères.

Premier vol d’une « Mongolfière » (France)

MONGOLFIER Joseph-Michel et MONGOLFIER Jacques-EtienneLe 21 novembre 1783, les frères MONGOLFIER Joseph-Michel et MONGOLFIER Jacques-Etienne effectuent un premier voyage en ballon à air chaud, au-dessus de Paris.

premier vol en mongolfière

premier vol en mongolfière

Assassinat des seigneurs de Mouhin (Waremme)

Le 20 (22) mai 1327, les 3 frêres écuyers, DE MOUHIN Ameil, dit « le Vieux », DE MOUHIN Arnoul et DE MOUHIN Rigault, frères du châtelain de Waremme, vivent ensemble dans leur forteresse appelée « Tour de Mouhin ».

Durant la Guerre civile des Awans et des Waroux, ils sont surpris entre leur tour et leurs écuries. Ils sont assassinés avec DE WAROUX Raes, par les Seigneurs DE MOMALE Waltère et DE BERLOZ Conrad.

Ils seront inhumés dans l’église de Waremme. Leur dalle funéraire porte l’inscription:

« HIC JACENT AMELIUS SENIOR / ARNOLDUS ET RIGALDUS DE MUHI FRATRES CONDAM / ARMIGERI QUI OBIERUNT / ANNO DOMINI M CCC XXVII MENSIS MAIJ DIE VUCESIMA SECUNDA »

Guillaume II de Jeneffe, chef du parti des Awans (Waremme – Liège)

Le 1er juin 1298 (1325 ?), CORBEAU D’AWANS Humbert, chef du Parti des Awans, meurt durant la bataille de Loncin, qui sera remportée par les Waroux. Tombé de son cheval, il ne peut se relever en raison du poids de son armure. A partir de ce moment, le châtelain de Waremme, DE JENEFFE Guillaume II, (ainsi que ses frères s’engagent dans ce conflit) devient le chef incontesté du parti des Awans et l’une des personnalités-clefs de la politique liégeoise. (Ne verra-t-on pas les Liégeois partir en campagne contre les adversaires personnels de Guillaume, gens qui, jusqu’alors ne leur manifestaient aucune hostilité).

Baudouin 1er de Jeneffe devient châtelain de Waremme

En 1230, à la demande du Légat du Pape, le Cardinal-Diacre OTTON, le Prince-Evêque de Liège, D’EPPES Jean, concède la châtellenie de Waremme en fief à DE JENEFFE Baudouin. Il s’agit peut-être (?) d’un geste de reconnaissance, pour le rôle joué par Baudouin dans l’arrestation du Comte D’ALTENA D’ISENBERG, le meurtrier de l’archevêque de Cologne, DE BERGHES Englebert, en 1225.

DE JENEFFE Baudouin rend hommage au Prince-Evêque de Liège et promet, sur la foi, que son successeur ne se marierait pas en dehors de la famille allodiale de l’Eglise de Liège (pour que le domaine reste un fief du Prince-Evêque ?). Ses frères, D’OREYE DE JENEFFE Arnould et DE LIMONT DE HERBAIS Robert, sont donnés comme garants de cette promesse.

DE JENEFFE Baudouin 1er est le premier châtelain de Waremme connu. Il le restera jusqu’en 1248. En acquérant la châtellenie, Baudouin acquiert le droit de percevoir la dîme à Waremme.

(Entre 1078, date de la donation du domaine par ERMENGARDE au Prince-Evêque de Liège, et 1229, le domaine de Waremme était probablement exploité par un avoué, au nom du Prince-Evêque).