La nuit du 1er au 2 août 1581, CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », poursuivie pour sorcellerie par la Cour de Justice de Crisnée, s’évade de la cave où elle est incarcérée, en forçant la serrure de la trappe qui la ferme, à l’aide d’une « pierre à feu ». Elle se réfugie chez LEALE Tossin.
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La fugitive Maroie Tempier, retrouvée (Crisnée)
Le 2 août 1581, vers 15 heures, le sergent de la ville de Crisnée, GERAR Jean, retrouve CLEMENCE Maroie, dite « TEMPIER », chez LEALE Tossin. Elle s’est enfuie de la geôle (cave) où il la maintenait incarcérée durant son procès pour sorcellerie devant la Cour de Justice de Crisnée.
Incendie au terrain de football (Waremme)
Le 3 octobre 2024, les rouleaux de gazon synthétiques, qui devaient servir pour rénover les terrains de football, stockés sur le parking du stade de football de Waremme installé rue des Prés, sont incendiés. Les flammes ont plus de 10 mètres de haut et le dégagement de chaleur est très important. Des arbres bordant le parking sont touchés, un poteau électrique et le tarmac du parking sont endommagés. Un témoin affirme avoir vu deux individus, porteurs de pull à capuche sombres, s’enfuir vers le quartier de la Haute Wegge.
Mort de deux piétons (Waremme)
Le 14 avril 2024, vers 2h40 du matin, des individus sortent du bar-dancing « Le Flanagan », installé en bordure de la chaussée Romaine à Waremme. Ils s’engouffrent dans leur véhicule, démarrent en trombe et de lancent dans une course-poursuite. Les deux véhicules se lancent dans des « Runs » et font la course sur la chaussée Romaine et les ronds-points qui encadrent l’endroit.
A un moment, en direction de l’autoroute, ils doublent par la droite un autre véhicule, qui circulait à vitesse normale un troisième. La voiture du 2ème chauffard percute deux hommes d’une quarantaine d’années, qui sont sortis de l’établissement un peu plus tôt et qui circulent sur la piste cyclable, afin de récupérer leur véhicule.
L’une des victimes, COLEMANS Thomas, de Liège, décède sur le coup et l’autre, JAMOYE Jean-François, d’Oleye (Waremme), un peu plus tard, à l’hôpital, à Liège.
Le chauffard, BORGUET Colin, âgé de 25 ans, d’Oupeye, prend la fuite. Il se livrera à la police quelques heures plus tard et sera privé de liberté. Il a déjà été condamné en 2021 pour délit de fuite, en 2022 pour conduite sous influence, en 2023 pour trafic de drogue et en 2024 pour plusieurs excès de vitesse. Il poste régulièrement des vidéos sur les réseaux sociaux, où il se filme, roulant à grande vitesse au volant de voitures puissantes.
La famille de Corswarem récupère ses biens
En (?), la famille DE CORSWAREM récupère, en tout ou en partie, les biens que DE CORSWAREM Guillaume-Joseph a abandonnés lors de sa fuite devant l’invasion française.
Mort de Marie-Catherine de Corswarem
Le 31 décembre 1831, DE CORSWAREM Marie-Catherine décède à (?), des suites du bain forcé dans la Gète, en août, pour échapper aux hussards hollandais.
Marie-Catherine de Corswarem tente de s’échapper
En août 1831, cernée dans son château de Landewyck, DE CORSWAREM Marie-Catherine échappe aux hussards hollandais, en se cachant dans les roseaux de la Gète. Mais ce bain forcé lui sera fatal.
Les exactions des Croates de Jean de Weert (Principauté de Liège)
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »
Jean de Weert saccage Hodeige
En avril – mai 1636, la paroisse de Hodeige a beaucoup à souffrir des soldats croates de DE WEERT Jean, qui y campent et logent. Ils saccagent l’église et le village. Le curé, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, doit se sauver par crainte d’être fait prisonnier pour la communauté et de subir toutes sortes de mauvais traitement, parce que les habitants sont dans l’impossibilité de payer au terrible capitaine l’entièreté des contributions militaires. DE WEERT Jean, furieux de voir lui échapper le curé, ne recule pas devant l’indignité de faire prisonnière une femme, la sœur utérine du curé, qui habite avec lui.
Tragique méprise (Remicourt)
Le 8 août 1914 vers 13h., BRONCKART-NEYS Joseph et DELHALLE-MATHY Lambert, de Remicourt, sont sommés de s’arrêter près du Pont-Bonne, par quelques éclaireurs belges qui se déplacent dans le village pour intercepter les troupes allemandes qui y sont signalées.
BRONCKART Joseph prend peur et s’enfuit en courant. Les soldats belges, pensant qu’il s’agit d’un ennemi, ouvrent le feu. Mortellement touché, il succombera le lendemain matin.