La maison de Roland Streignaerts (Waremme – Allemagne)

Le (?) 1940, lorsqu’il rentre dans sa maison de la rue de Mouhin, à Waremme, après s’être échappé d’une colonne de prisonniers près de Saint-Trond, STREIGNAERTS Roland constate que les portes de sa maison ont été fracturées et les fenêtres brisées. Les armoires sont grandes ouvertes, les tiroirs sortis des meubles. L’argenterie, les ustensiles de ménage, le linge, les outils, le contenu de sa cave à vins, … tout a disparu. Il estime son préjudice à plus de 20.000 francs.

Un voisin lui dira que les Allemands ont passé quelques nuits dans la maison et que des réfugiés s’y sont reposés.

La maison de Gilbert Botty (Waremme – Allemagne)

Le (?), au retour de son exil en France, BOTTY Gilbert constate que sa maison a été saccagée et que des biens ont été volés, pour un montant qu’il estime à plus de 3.000 francs. Il en veut au bourgmestre, à l’administration communale de Waremme et à son délégué, le courtier en grains de l’avenue des Tilleuls (qui deviendra plus tard l’avenue Guillaume Joachim), PAQUAY Emmanuel, d’avoir introduit illicitement les Allemands dans sa demeure.

Il faut loger les Allemands (Waremme – Allemagne)

Le 12 mais 1940, les Allemands intiment l’ordre au bourgmestre de Waremme, JOACHIM Guillaume, de désigner des habitations dans lesquelles seront hébergées leurs troupes.

Il pense, en premier lieu aux habitations laissées vides par ceux qui ont fuit la ville. Il charge PAQUAY Emmanuel, courtier en grains, de répertorier ces immeubles.

Gaston Ganser fuit Waremme

Le 11 mai 1940, le Waremmien GANSER Gaston, qui habite au n° 38 de la rue de la Porte de Liège, fuit Waremme devant l’arrivée des Allemands. Il laisse à Waremme son épouse LHOEST Pauline et son fils GANSER André.

Le pharmacien Gielen fuit Waremme

Le 11 mai 1940, le pharmacien de Waremme, GIELEN Jean, fuit la ville en voiture pour gagner la France. Il fait arrêt chez son frère, le fermier GIELEN Alphonse, rue des Quatre Fermes à Bettincourt.

Albert Couchant fuit Waremme

Le 11 mai 1940, le gendarme supplétif, COUCHANT Albert, quitte Waremme sur son vélo.

Léon Mossoux fuit Waremme

Le 11 mai 1940, le gendarme supplétif, MOSSOUX Léon, quitte Waremme sur son vélo.

Fernand Joannes fuit Waremme

Le 11 mai 1940, le gendarme supplétif JOANNES Fernand quitte Waremme sur son vélo.

Jean Robert fuit Waremme

Le 11 mai 1940, ROBERT Jean fuit Waremme sur son vélo. Il est poêlier à la rue du Pont, à Waremme. Il est aussi gendarme supplétif.

Marcel Bronckaers fuit Waremme

Le 11 mai 1940, BRONCKAERS Marcel quitte Waremme sur son vélo. Il est teinturier rue Joseph Wauters, à Waremme. Il est aussi gendarme supplétif.