Le 31 décembre 1831, DE CORSWAREM Marie-Catherine décède à (?), des suites du bain forcé dans la Gète, en août, pour échapper aux hussards hollandais.
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Marie-Catherine de Corswarem tente de s’échapper
En août 1831, cernée dans son château de Landewyck, DE CORSWAREM Marie-Catherine échappe aux hussards hollandais, en se cachant dans les roseaux de la Gète. Mais ce bain forcé lui sera fatal.
Les exactions des Croates de Jean de Weert (Principauté de Liège)
Le 18 juillet 1636, le Chapitre de Saint-Lambert de Liège fait part, aux Trois Etats réunis, des exactions commises par les troupes de DE WEERT Jean:
« Pendant l’espace de 4 mois et davantage, la gendarmerie de DE WEERT Jean et d’autres associés a exercé dans le pays tous actes d’hostilité, toutes sortes de cruautés, perfidies, sacrilèges, meurtres, oppressions, concussions, rapines, voleries, brandschats, violations très infâmes de femmes et filles, et commis une infinité d’autres actions très exécrables et tyranniques et plus que barbares. Elle a en outre bouté le feu et réduit en cendres des villes et plusieurs villages entiers avec beaucoup de milliers de maisons; pillé et brulé un grand nombre d’églises et de monastères, déchassé par le plat pays les pasteurs et gens d’église, fait cesser l’office divin et contraint, selon que l’on tient, plus de 10.000 personnes de se retirer de ce pays catholique aux provinces de la religion contraire, avec danger d’y perdre corps et âmes, et même, chose horrible, foulé au pieds, en plusieurs lieux, le très auguste et Saint Sacrement de l’autel. »
Jean de Weert saccage Hodeige
En avril – mai 1636, la paroisse de Hodeige a beaucoup à souffrir des soldats croates de DE WEERT Jean, qui y campent et logent. Ils saccagent l’église et le village. Le curé, l’abbé DE DONCHEIL (DE DONCEEL) Thomas, doit se sauver par crainte d’être fait prisonnier pour la communauté et de subir toutes sortes de mauvais traitement, parce que les habitants sont dans l’impossibilité de payer au terrible capitaine l’entièreté des contributions militaires. DE WEERT Jean, furieux de voir lui échapper le curé, ne recule pas devant l’indignité de faire prisonnière une femme, la sœur utérine du curé, qui habite avec lui.
Tragique méprise (Remicourt)
Le 8 août 1914 vers 13h., BRONCKART-NEYS Joseph et DELHALLE-MATHY Lambert, de Remicourt, sont sommés de s’arrêter près du Pont-Bonne, par quelques éclaireurs belges qui se déplacent dans le village pour intercepter les troupes allemandes qui y sont signalées.
BRONCKART Joseph prend peur et s’enfuit en courant. Les soldats belges, pensant qu’il s’agit d’un ennemi, ouvrent le feu. Mortellement touché, il succombera le lendemain matin.
Naissance de Joseph Stassart (Crisnée)
Le 30 avril 1920, STASSART Joseph voit le jour à Crisnée. Ses parents sont STASSART Henri et SCHOEFS Marie-Jeanne. Il combattra durant la Deuxième Guerre Mondiale. Fait prisonnier, il s’échappera.
Le boulanger Hennemann stocke du pain (Crisnée)
Le 11 mai 1940, le boulanger HENNEMANN, de Crisnée, stocke du pain dans le corridor de l’école des garçons, pour nourrir les nombreux réfugiés qui fuient l’avancée allemande.
Ferdinand Bure échappe aux Allemands (Crisnée – Waroux)
Le 15 août 1914, après l’explosion du Fort de Loncin, BURE Ferdinand, de Crisnée, échappe aux recherches des Allemands, caché sous des gerbes dans la campagne de Waroux.
Jean-Lambert Palate, fuyard (Bergilers)
En 1810, PALATE Jean-Lambert, journalier à Bergilers, conscrit, s’enfuit en cours de route. Repris, il sera mis au dépôt (FAS ?).
François Brone, fuyard (Bergilers)
En 1814, BRONE François, journalier à Bergilers, conscrit, s’enfuit en cours de route. Repris, il sera mis au dépôt.