Le 17 novembre 1812, BRUSKIN Gérard-Joseph, de Omal, conscrit sous le n° de tirage au sort 30, est incorporé comme fusilier au 5ème bataillon, 1ère compagnie, du 19ème régiment de ligne. Son n° de matricule est 11156.
Archives par mot-clé : fusilier
Charles-Joseph Bruyère, soldat (Verlaine)
Le 16 janvier 1810, BRUYERE Charles-Joseph, de Verlaine, conscrit, est incorporé comme fusilier au 8ème bataillon, ?ème compagnie, du 95ème régiment de ligne. Son n° de matricule est 10363.
François-Joseph Bure, soldat (Crisnée)
Le 24 novembre 1818, BURE François-Joseph, de Crisnée, conscrit sous le n° de tirage au sort 56, est incorporé comme fusilier au 4ème bataillon, 2ème compagnie, du 65ème régiment de ligne. Son n° de matricule est 10687.
François-Joseph Bure, déserteur (Crisnée)
Le 6 janvier 1814, BURE François-Joseph, de Crisnée, fusilier au 65ème régiment de ligne (?), déserte.
Jean-François Bure, transféré (Boëlhe)
Le 21 août 1812, BURE Jean-François, de Boëlhe, conscrit remplaçant KINAR Joseph (?), est transféré comme fusilier au 2ème bataillon, 1ère compagnie, du 8ème régiment de Méditerranée.
Jean-Laurent Bury, soldat (Fexhe-le-Haut-Clocher)
Le 6 Pluviôse de l’An XI, 26 janvier 1803, BURY Jean-Laurent, de Fexhe-le-Haut-Clocher, conscrit, est incorporé comme fusilier au 2ème bataillon, 6ème compagnie, de la 98ème demi-brigade. Son n° de matricule est 5058.
Anniversaire de la Révolution (Waremme – Belgique)
Le 29 juillet 1832, la Garde Civique de Waremme fait un exercice en l’honneur du glorieux anniversaire. Elle tire 100 cartouches (la plupart prises sur les Hollandais à Saint-Trond).
Y participent:
- GLADE Mathieu, capitaine
- DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond, sous-lieutenant, porte enseigne
- GHAYE Michel, tambour
- DE BORCHGRAVE Léon-Charles-Michel
- DE BORCHGRAVE Paul-Edmond-Joseph
- WAUTERS Jacob, grenadier
- MAURER Charles, grenadier
- GLADE Joseph, grenadier
- FRAIPONT René (?), fusilier
- FRAIPONT Georges, fusilier
- MOREAU, fusilier
- GLADE Alexandre, fusilier
Pierre Ferette écrit à ses parents (Celles – France)
Le 5 juillet 1810, FERETTE Pierre-Joseph, journalier à Celles, fusilier au 5ème Bataillon de la 1ère Compagnie du 32ème Régiment d’Infanterie de Ligne, écrit à ses parents, de Paris:
« Mon très cher père et très chère mère,
En réponse à la vôtre datée du 30 mai dernier par laquelle j’ai eu la satisfaction d’apprendre que vous jouissiez d’une santé parfaite, espérant que la présente vous trouvera de même quoique de mon côté je me porte bien Dieu merci. Je souhaite une continuation parfaite de même qu’à vous tous, mon cher père.
C’est la seconde fois depuis peu mais l’argent que vous m’avez fait le plaisir de m’envoyer m’est arrivé avec votre lettre. Rien autre chose à vous marquer pour le présent que de vous faire mes compliments, de même qu’à ma mère et frères après vous avoir embrassé de tout mon cœur et désirant que Dieu nous donnera la grâce de nous revoir un jour.
Finissant la présente, je vous prie de faire mes compliments à M. HAMOIRE et à sa prétendue épouse et à toute sa famille. Vous leur direz de ma part que je leur souhaite toutes sortes de bonheur touchant leur mariage et que je me recommande à eux. Ce serait un effet de leur bonté que de m’envoyer un peu d’argent. Je leur serait infiniment obligé, je vous prie de faire mes compliments à M. GODECHAL et à sa famille et qu’il ait soin de me renvoyer ce qu’il m’a proposé et que je me recommande de sa personne. Je lui serai infiniment reconnaissant. Mes compliments à MARECHAL et à son épouse.
J’ai fini ma lettre en vous embrassant de tout mon coeur et suis pour la vie votre très humble et obéissant fils.
Mon père, je vous prie de faire mes compliments à HALAIN et à ses frères de la part de HALAIN François. Leur fils qui se porte bien et qu’il espère que la présente vous trouvera dans la même situation et qu’il fait ses compliments à ses oncles et tantes et à ses cousins, de même qu’à GOUGNAR Marie et que je les embrasse de tout mon cœur.
p.s.: je ne suis plus camarade de lit de FERETTE, mais je ne suis pas éloigné de lui. FERETTE couche avec un jeune homme de Thisnes. HALAIN a reçu une couronne et demie que son père lui a envoyée.
Son adresse dans le même bataillon et la même compagnie que moi.
Ecrivez-nous de suite.
Mort de Jean Petitjean (Bergilers – Allemagne)
Le 15 août 1813, PETITJEAN Jean, de Bergilers, fusilier au 50ème Régiment d’Infanterie de Ligne, décède à Francfort-sur-(?).
Jean Petitjean, soldat (Bergilers)
Le 5 mars 1813, PETITJEAN Jean, de Bergilers, est incorporé comme fusilier au 50ème Régiment d’Infanterie de Ligne.